Et que les scènes d’embouteillages monstres se faisaient de plus en plus rares. Le métro n’était pourtant toujours pas arrivé jusqu’à la pointe de la Presqu’île lyonnaise (et il n’arrivera probablement jamais), mais le tramway allait désormais jusqu’à Gerland et l’ouverture des passages Panama et Magellan permettait de diluer les flux d’automobilistes en provenance des sièges de GL Events, d’Euronews et du Progrès où travaillent des centaines de personnes.
Toutefois, depuis quelques mois, le quartier cher à Gérard Collomb est redevenu un cauchemar pour les automobilistes. Certes, le centre commercial connaît un regain de fréquentation à l’approche des fêtes. Mais rien ne semblait prédestiner le cours Charlemagne à redevenir subitement l’endroit le plus bouché de Lyon dès 16h30. Et pourtant, même cette première semaine de vacances de Noël n’y échappe pas. Le matin est également concerné, dans une moindre mesure, et principalement à cause des livraisons.
Les Lyonnais évitent-ils le quai Perrache, parallèle au cours Charlemagne et bien moins emprunté ? Possible, s’ils imaginent à tort que les lourds travaux sur le site de l’ancien marché-gare pourraient freiner leur parcours.
La cause du problème pourrait trouver son origine dans la fréquence des tramways T1. Les usagers s’en réjouissent aux heures de pointe, les automobilistes deviennent fous. Car force est de constater que de la rue Montrochet - il est d’ailleurs étonnant qu’aucune voiture n’ait jamais été percutée par un tram à ce carrefour - jusqu’à l’autopont de l’A7, c’est bien la ligne T1 qui impose son rythme, et notamment sur les feux tricolores.
Les automobilistes qui veulent se rendre en direction de Gerland ou de la Mulatière doivent, s’ils ont le malheur de croiser un tramway, attendre jusqu’à 3 minutes que le feu vert leur soit accordé. D’où la longue file d’attente qui se crée en amont et qui ne contribue pas à redorer l’image de la Confluence.
Ce qui va être fait pour changer la donne
Pas question pour le Sytral de modifier sa façon de faire avec les tramways. Au contraire, la fréquence du tramway ne peut qu'augmenter à l'avenir, c'est la volonté commune de la Métropole et du syndicat en charge des transports en commun lyonnais de favoriser l'abandon progressif de la voiture.
L'ouverture d'un parking de 814 places en 2018 à l'angle du quai Perrache et de la rue Casimir-Périer pourrait reporter une partie de la circulation le long de l'autoroute.
Et justement, cet axe autoroutier est l'un des grands défis de ces cinq prochaines années. Gérard Collomb attend toujours du gouvernement le décret signifiant le déclassement de l'A6/A7 entre Pierre-Bénite et Limonest. Le but est ensuite de réaliser un boulevard urbain le long de la Confluence, en comptant sur le fait que les automobilistes qui ne faisaient que traverser Lyon auparavant passent désormais sur un axe plus éloigné du centre de la capitale des Gaules.
Mais en attendant, la Confluence stagne. Et les futurs acquéreurs des nombreux projets immobiliers en construction qui visitent en ce moment ce quartier pourraient être apeurés par sa paralysie notoire une fois la nuit tombée.
Et l'histoire du monde nous montre que lorsqu'un pays gagne, l'autre qui vendait, ne vend plus, et perd. (voir guerres du pétrole etc).
Signaler RépondreQue lorsqu'un "concurrent" vient s'installer en face, il vous prend des parts de marché ou prend les parts de marché d'un autre secteur,
que lorsqu'une entreprise délocalise, les emplois sont gagnés d'un côté, et perdu de l'autre.
etc...
Comme quoi, on pourrait regarder l'Histoire du monde sans votre propagande de "chacun gagne car on vit au pays des bisounours". :o)
Ambulances, urgences, ok,
Signaler Répondremais "personnes âgées"... d'autres alternatives existent, et arrêtez de prendre les personnes âges pour "grabataires", un certain nombre sont sur des vélos dans Lyon et ils ont surement plus la forme que d'autres.
:o)
@plume Et bien !!! Il suffit d'aller en ville la nuit et de voir toutes ces voitures garés ... elles appartiennent à qui ? Ah oui elles doivent appartenir à tout ces gens qui habitent à l'extérieur dans leur vue verdoyante. Et le pire c'est que le soir suivant elles bougent toute .... donc utilisés dans la journée. Et que dire aussi de tout ces gens qui habite en ville mais par contre travail dans les zones industriel en périphérie et qui prennent leur voiture chaque jours. Hein? Raisonner aussi bas est vraiment pathétique. C'est la faute des autres et ils viennent m'embêter dans ma vile ..... Abruti.
Signaler RépondreMerci pour ce message construit et documenté. Je nuancerai juste en disant que la circulation automobile, si elle ne doit plus être le choix numéro un, doit garder une place en ville pour certains usages (ambulance ou personnes âgées par exemple).
Signaler Répondre"...................Allez, il Il faut que vous ressortiez vos arguments économiques "pour l'un gagne faut que l'autre perde", "le CA de l'un est pris sur celui de l'autre", la rareté relative de la monnaie, la nécessaire décroissance,..................."
Signaler Répondre"un contre agumentaire à tout cela ?"
Non, seulement des faits : l'histoire du monde....
"............... Allons Allons, vous savez bien que des crèves la faim bio c'est mieux que "gens empoisonnés" avec un emploi.............."
Signaler RépondrePourquoi ce seraient uniquement des "crèves la faim" ?
La permaculture bio a un meilleure rendement que les sols détruits, brulés, par les engrais chimiques.
Gros manipulateur va :o)
"...................Allez, il Il faut que vous ressortiez vos arguments économiques "pour l'un gagne faut que l'autre perde", "le CA de l'un est pris sur celui de l'autre", la rareté relative de la monnaie, la nécessaire décroissance,..................."
un contre agumentaire à tout cela ? Non ? Rien ? Comme d'hab ?
Vous êtes obligé de finir par :
"...............le complot des multinationales et tutti quanti !............."
Faire passer les autres pour des complotistes pour ne pas avoir à répondre sérieusement au reste :o)
Et si le point de vu post-monétaire est trop radical pour vous, vous devriez lire l'intervention du "collectifvalve"
Entièrement d'accord avec votre analyse et sur ce qu'est en train de devenir le secteur Augagneur - Lafayette / Bonnel (et on pourrait parler aussi de la rue Garibaldi transformée en "parcours vert" que personne n'emprunte....
Signaler RépondreEt bien ce n'est pas gagné... depuis 30 ans nous constatons l'échec de l'automobile comme moyen de transport urbain : malgré l'ajout de voies de circulation, le rétrécissement des trottoirs, la création de trémies, la congestion perdure, voire s'amplifie et la vitesse moyenne plafonne à environ 14 km/h, c'est à dire la vitesse moyenne d'un cycliste respectueux du code de la route (ça existe ! ;-) ).
Signaler RépondreTout simplement parce que la voiture consomme trop d'espace urbain : un automobiliste très souvent seul dans sa voiture occupe une dizaine de mètres carrés sur la chaussée. Puis il doit garer sa voiture : encore 6 m2 consommés. Avec le développement des métropoles, les flux de travailleurs ne cessent d'augmenter (malgré les importants investissements dans les transports collectifs) et la pression automobile est devenue difficilement supportable pour des habitants qui ne sont pas tous ces fameux bobos... les première victimes des nuisances automobiles sont avant tous les moins aisés qui habitent près des grands axes routiers et ne peuvent pas déménager... les nuisances automobiles sont avant tout le problème des classes populaires, qu'on entend peu dans les médias... alors que les classes aisées y sont surreprésentés.
Les habitants souhaitant réduire les nuisances automobiles, il est devenu impossible dès les années 1990 d'élargir les rues d'autant qu'il aurait fallu s'attaquer aux constructions elles-mêmes après avoir rogner les trottoirs et espaces verts au maximum.
La seule solution est de miser sur d'autres solutions de mobilités moins consommatrice d'un espace urbain limité . Pour permettre leur développement, la nécessaire redistribution de l'espace réservé à l'automobile (entre 60 et 90% de l'espace disponible de façade à façade) a été engagé dès la fin des années 90 dans toutes les grandes agglomérations françaises (et européennes). Les projets de tramways ont permis de requalifier des axes entiers, des trottoirs ont été élargis, de zones piétonnes créées...
Depuis 15 ans de nombreuses aménagement ont été créés : ce mode de transport étant particulièrement adapté à nos villes : rapide (15km/h), fiable, peu gourmand en espace, non polluant,...
Quand à l'argument commercial, il est fallacieux dans les grandes agglomérations : la directrice du CC de la part-Dieu vient rappeler que seulement 5% des clients viennent en voiture. Piétons, cyclistes et utilisateurs des transports collectifs constituent 95 % de la clientèle !!!
En outre les grandes villes danoises, allemandes et mêmes certaines italiennes sont la preuve concrète que le dynamisme commerciale n'est pas lié à la voiture : c'est même le contraire.
Il est de temps de considérer ces données avec lucidité : la place de l'automobile va donc continuer à régresser parce que c'est un moyen de transport inefficace et inadapté. C'est un mouvement de fond : Sur Lyon-Villeurbanne, seulement 26% des déplacement se font en voiture (tous types de déplacements) contre 35% en 2009. Et c'est une bonne nouvelle pour la qualité de vie des habitants des centres villes : bobos mais aussi classe populaires situées sur les grands axes qui mènent aux centres-villes.
Parmi ces automobilistes râleurs, quelle proportion a fait le choix d'habiter loin du centre ville, pour avoir un logement plus grand, un terrain, une vue verdoyante ?
Signaler RépondreCes 30 ou 40% d'automobilistes empoisonnent et rendent invivable nos centre-villes, avec leurs véhicules bruyants et polluants.
Alors oui, le tramway est une bonne chose, car il permet de rallonger les temps de parcours en voiture et donc de rendre les autres modes de transport plus intéressants.
J'y travaille et je prends ma voiture entre les embouteillages le soir sur les quais de Saône générés car les voitures qui veulent avoir accès au tunnel pour ceux comme moi qui souhaitent se rendre sur les quais du Rhône c'est l enfer J ajoute que des que la nuit tombe les nombreuses prostituees qui se préparent devant le garage que je loue cours bayard Je déteste ce quartier Y a rien
Signaler RépondreExact, il faut creuser beaucoup plus profond en reprenant plus en amont un tunnel situé à peu près entre bellecour et ampere ; puis aller jusqu'à Confluence.
Signaler Répondredans l'hypothese ou on le ferait, outre le cout pharaonique ; vous croyez que les habitants du quartier Ampere verraient d'un bon oeil la suppression INEVITABLE dans ce scénario de l'arret dans leur quartier et de leur station de métro ?
(rappel un metro c'est une station tous les 400 metres au minimum sinon c'est du gaspillage d'argent) ; hors si on créé une nouvelle station entre bellecour et ampere, il y a forcement Ampere qui saute).
Sinon recreuser un nouveau tunnel depuis Bellecour ? hors de prix bien sur.
Entièrement d'accord avec vous. Dire que la fréquence du seul tram qui passe au Confluence, les usagers s'en réjouissent, est une ineptie.
Signaler RépondreComment se fait il que le tram T2 ne continue pas son chemin jusqu'à Confluence pour effectuer un demi tour juste après la station ?
A défaut d'un métro bien utile mais qui ne viendra jamais. La vrai question est la fréquence et la desserte par 2 trams du quartier. Je rappelle que Confluence c'est +/- 20 000 personnes à terme.
Je suis un usager quotidien de ce tram et force est de constater que c'est assez consternant pour une ville qui se veut européenne.
En fait, c'est le métro qui était prévu dès l'origine : la preuve en est que sous la station "Stade de Gerland", il existe toujours une station pour la desserte de la ligne A.
Signaler RépondreEt on aurait causé moins de problèmes aux gens...
Je crains malheureusement qu'il ne s'agisse à la Confluence qu'une répétition de ce que sera le cours Lafayette et toutes les voies adjacentes avec un point fort autour de la part-Dieu dans quelques mois... il suffit de se positionner quai Augagneur et de regarder aux heures de pointe l'état de la circulation et de la pollution volontairement générée par G. Collomb et ses équipes de bobos anti-voitures pour s'en rendre compte.
Signaler RépondreA titre personnel, circulant à vélo, la conception même du cours Lafayette est à revoir car impossible de se frayer un chemin si un bus C3 vous précède. Déplorable.
Et en effet, le métro – une fois encore – affirme son indispensable besoin…
On extrapole ?
Jusqu’à présent la rue Bonnel avait échappé (on ne sait comment d’ailleurs) aux urbanistes anti-voitures. Mais voici que le parking derrière l’auditorium va être détruit. Et d’ici à 2020, date à laquelle il est prévu d’en reconstruire un autre passant ainsi de 3000 places à 2028, on peut envisager la rue Bonnel bien engorgée. Surtout que la fermeture interviendra le 31 décembre 2016, juste avant les soldes du centre commercial. Bien vu.
Pensons à ces pauvres valentinois, chambériens et autres caladois qui ont leurs (« mauvaises ») habitudes et devront rebrousser chemin à l’angle de Garibaldi sans savoir où se situent les parkings de substitution… Les lyonnais auront ainsi TOUS (piétons, vélos, trams « coincés », automobilistes et bus…) à payer les conséquences d’une municipalité dogmatique et d’urbanistes incapables de mettre en place des « modes durs » de déplacements (après les modes doux le concept marketing de modes durs !). En clair, LE METRO !!
Il est vrai qu’en ne réfléchissant que « lyonno-lyonnais », les adeptes de cet anti-voiturisme stupide ne se préoccupent que de leur propre bien-être, sans imaginer ce que sera la voiture du futur (non-polluante par exemple).
Depuis quand n’a-t-on pas construit de ligne de métro à Lyon ? Même si le coût est évidemment plus élevé au km, Lyon miserait sur l’avenir.
Si vous ne voulez que du calme en ville, vous pouvez déménager et habiter ailleurs. Mais il faut éviter de vanter les mérites d’être une Métropole Régionale voir ambitionner l’international et rester à des pratiques et des comportements hors des concepts de ville moderne qui sont une ineptie.
En creusant un peu sous Perrache, puis en créant une trémie cours Charlemagne.
Signaler RépondreL'inconvénient c'est qu'il n'y aurait pas eu autant d'arrêts desservis. Et qu'à moins de creuser ensuite sous le Rhône, ça aurait fini en terminus à la Confluence...
Pas sûr que ce soit possible, le Métro A arrivant au niveau du sol à Perrache, juste au dessus des trémies, comment peut-on envisager de le prolonger sans surcoût pharaonique?
Signaler RépondreAu lieu de faire un T6 on aurait au moins pu prolonger le métro Perrache > Confluence
Signaler RépondreAllons Allons, vous savez bien que des crèves la faim bio c'est mieux que "gens empoisonnés" avec un emploi.
Signaler RépondreAllez, il Il faut que vous ressortiez vos arguments économiques "pour l'un gagne faut que l'autre perde", "le CA de l'un est pris sur celui de l'autre", la rareté relative de la monnaie, la nécessaire décroissance, le complot des multinationales et tutti quanti !
Peut être seulement moins hypocrite cher "Un bourge en basket intermittent cycliste citoyen DE SON monde"....
Signaler RépondreTravaillant à Confluence, je confirme les propos de l'article et la responsabilité du tramway qui décale le feu des automobilistes arrivant du cours Charlemagne.
Signaler RépondreUne simple flèche clignotantes pour les voiture partant sur le pont de la Mulatière permettrait de réduire considérablement la file d'attente...
L'auteur de cet article oublie de préciser que Lyon Mag a son siège à la Confluence. Et vu le ton agacé, ce journaliste n'utilise pas son vélo ni les transports en commun pour aller au bureau...
Signaler RépondreFinalement, cet article n'est-il pas un témoignage déguisé plutôt qu'une description objective des faits ?
Oula, un rebelle au système... vite, vite, les pseudos pro-voiture, réagissez !!!!
Signaler RépondreEt pas seulement avec "..........Voilà c'est ça ! Un cœur de ville devenu "réserve naturelle" j'en rêve ! Youpi !..........."
Il faut que vous ressortiez vos arguments économiques pour nous prouver que des gens empoisonnés mais avec un emploi, c'est mieux que des chômeurs dans un milieu sein !!! :o)
Quoi ?
Signaler RépondreLe fric (et ses limitations obligatoire (limite de budget)) organiserait de manière idiote notre société ?
Et... vous seriez prêt à faire un débat là dessus ? :o)
La congestion du quartier était prévisible avant qu'il ne soit construit. S'il est intéressant en terme d'architecture (il fait partie des visites de l'Office du tourisme), sa desserte en est le principal point faible. Le fait de construire un tram à la place du métro est la principale erreur de Gérard Collomb. Le métro aurait demandé des délais plus londs et investissements plus lourds. Il fallait, pour des raisons électorales, faire vite. Le coût en terme de circulation et donc de pollution est énorme.
Signaler RépondreJe me souviens, en 2010 je crois, avoir voulu lancer un débat sur le sujet avec un journaliste du Progrès; dans un premier temps, il était d'accord et puis, brusquement, il n'avait "plus le temps". Si ce débat avait été porté sur la place publique, on n'en serait sans doute pas là. Donc, subissons.
S'il est évidemment souhaitable de privilégier les transports collectifs, on peut néanmoins regretter que le tram ait été choisi à la place du métro pour un quartier appelé à se densifier autant. Cela aurait permis de proposer une solution directe depuis la Presqu'île pour les gens qui font une virée shopping sans impacter la circulation automobile qui reste nécessaire (familles, personnes âgées et handicapées, utilitaires...).
Signaler RépondreAlors que vous vous, on voit bien que vous êtes très tolérants et respectueux vis-à-vis des autres : pas de généralisation hâtive, pas de procès d'intention, pas de quolibets...
Signaler Répondremoi j'habite CONFLUENCE... je loue un appartement moins cher que le précédent dans le 7ème, et malheureusement pour vous je vote à droite ( j'étais assesseur aux primaires ...) je n'ai pas de vélo mais des baskets ...j'utilise les transports en commun, et oui il y a des bouchons le soir ...et si vous n'y allez jamais ou est le problème?
Signaler RépondreVoilà c'est ça ! Un cœur de ville devenu "réserve naturelle" j'en rêve !
Signaler RépondreYoupi !
sans solutions pour la voiture et sans alternatives sérieuses, ( metro par exemple ) je fias partie des nombreuses personnes qui ne viennent pas à Conflunece mais si je reconnais que le centre est jolie et le quartier pourrait etre interessant sans ses enormes pbs d'acces : me mettre volontairement dans les bouchons non merci !
Signaler Répondre"Mais en attendant, la Confluence stagne. Et les futurs acquéreurs des nombreux projets immobiliers en construction qui visitent en ce moment ce quartier pourraient être apeurés par sa paralysie notoire une fois la nuit tombée."
Signaler RépondreEtonnant ? on a fait de la chasse à la voiture un dogme et on s'étonne que personne ne veuille habiter dans le quartier.
Quand au centre commercial, évidemment le nombre de voies de circulation du cours Charlemagne ayant été réduit les gens désertent et ceux qui auraient pu venir de l'extérieur (mulatière, oullins etc...) prennent peur....
Ne reste plus qu'à faire une piste cyclable avec un "parcours écologique urbain" pour attirer le bobo dans un quartier "novateur" : Problème le bobo est par définition une caste minoritaire et il a déjà ses lieux de prédilection.... Les programmes immobiliers HQE éco-responsables risquent de rester vides encore un certain temps....
Je n'y vais jamais...trop difficile d'accès en voiture.
Signaler RépondreC'est un quartiers aux bourges en baskets et qui votent Macron...des gens qui n'aiment que ceux qui leur ressemblent, leurs domestiques et les intermittents du spectacle... ils aiment vivent entre eux, ont horreur des beaufs...et se déclarent évidemment tous de "goche","citoyens du monde" et "amoureux de la diversité" .. ils rouilent tous en vélo bien-sûr...sur les trottoirs, à contre-sens, brulent les feux rouges... "mes désirs sont des droits " oblige!
Un cœur de ville débarrassée de voiture individuelle, j'en rêve.
Signaler RépondreIl faut continuer à décourager les personnes de venir en ville avec une voiture et les citadins d'en avoir une et proposer des alternatives.