Sur son blog, l’actuel député PS Yves Blein raconte l’histoire de sa permanence parlementaire, ouverte rue du Château à Vénissieux. Et sa décision d’utiliser en 2014, avec l’accord de son propriétaire, le caisson de la façade pour afficher son visage et l’inscription "Yves Blein, député du Rhône". Parce que "bien souvent les personnes avec qui j’ai rendez vous se perdent faute de signalétique", écrit le député-maire de Feyzin.
Sauf que son implantation ostentatoire à Vénissieux ne plaît pas à Michèle Picard, maire communiste de la ville et candidate aux législatives dans cette 14e circonscription. Deux ans après l’installation de la signalétique, elle a écrit à Yves Blein pour lui demander de la retirer.
Face à la réponse de l’intéressé, rappelant à Michèle Picard qu’il avait l’accord de son propriétaire, l’édile communiste a donc changé de cible. "Décidément très réactive, la mairie adresse immédiatement au propriétaire un courrier tout aussi menaçant lui imposant d’enlever sans délais ce caisson sous peine d’amende de 200 euros par jour !", raconte toujours Yves Blein, qui a donc assisté ce jeudi à l’enlèvement de sa pancarte du caisson.
"J’espère que les débats politiques qui opposeront les différents candidats seront de nature plus élevée que ces ridicules histoires de caissons !", conclut celui chargé par le PS d’organiser la primaire de la gauche dans le Rhône.
On ne change pas 80 ans de communisme à Venissieux, le
Signaler Répondresectarisme est toujours présent. Depuis Dupic' Houel, Gerin
et maintenant Mme Picard rien n'a changé.Si tu n'as pas la carte du parti pas de HLM et tout à l'avenant.
Michèle PICARD utilise ses pouvoirs de maire pour contrer la campagne de son concurrent à la législative: y'a pas comme une confusion des genres?!
Signaler RépondreCette femme est extrêmement sectaire. Tout le monde le sait.
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