En cause, le refus d’Uber de baisser sa commission de 25 à 20%. Pour rappel, cette demande avait été faite par Alain Vidalies, secrétaire d’Etat aux transports.
Le problème, notamment, c’est un lien de "subordination" selon Nizar Ben Amar, le président de la fédération lyonnaise de chauffeurs VTC. Pour lui, "Uber impose ses règles sans aucune concertation. Ainsi, il y a des désactivations de comptes de chauffeurs du jour au lendemain. C’est-à-dire que des chauffeurs n’auront plus accès à la plateforme suite à, par exemple, des réclamations de clients ou toute autre décision prise unilatéralement par Uber. Les gens ont investi dans des sociétés ou des voitures et se retrouvent donc sans rien".
"C'est de l'esclavage des temps modernes, renchérit Aziz, chauffeur VTC lyonnais. On veut donc un mouvement pacificique pour expliquer aux clients et aux chauffeurs ce qu'on réclame".
L’opération escargot aura donc lieu à partir de 8h environ, entre le Palais des Sports de Gerland et la place Bellecour. Pour l’instant, aucun chiffre de participation n’a été communiqué par les VTC. Mais il semble évident que la circulation sera fortement impactée sur le tracé des chauffeurs.
Non c'est toi qu'on méprise.
Signaler RépondreAvec ou sans libéralisme, le monde s'optimise, on rationalise, et à la fin, le travail est remplacé par les robots et l'informatisation.
Signaler RépondreTout simplement parce qu'il faut "moins de charges que de produits" dans une comptabilité.
Vive la monnaie.
Mais rassurez vous, la suite est déjà là, seulement vous la méprisez. :o)
"""C'est de l'esclavage des temps modernes, renchérit Aziz, chauffeur VTC lyonnais.""
Signaler RépondreC'est le monde de demain pour nos jeunes, le monde voulu par Vals avec sa loi travail qui a cassé justement le code du travail, et voulu par Macron, le libéralisme à l'américaine, le libéralisme institué par les banquiers.
il n ont qu a plus utiliser l application UBER
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