En compilant les données de circulation de l'agglomération lyonnaise, elle a établi que les automobilistes avaient roulé plus vite que d'habitude le 9 décembre dernier à Lyon et Villeurbanne.
Ce jour-là, la préfecture du Rhône avait instauré la circulation alternée, n'autorisant que les véhicules dotés de plaques impaires à rouler pour lutter contre l'épisode de pollution.
Selon le Progrès, le créneau 15h-19h a connu la hausse de vitesse la plus conséquente, à 10% au dessus de la moyenne habituelle.
Un chiffre minime mais qui n'est pas en adéquation avec les consignes de réduire sa vitesse lors des épisodes de pollution.
Médiamobile se garde de trouver des explications à cette hausse. Puisqu'il y avait moins de monde sur les routes de l'agglo, et donc moins de bouchons, la vitesse s'en retrouvait forcément augmentée. Les mauvaises langues diront que certains, dotés de plaques paires, ont peut-être souhaité accélerer leur trajet pour éviter de tomber sur un contrôle et voir leur voiture être immobilisée.
Moins la circulation est ralentis et plus le moyenne est haute quel logique débile .
Signaler RépondrePlus vite que dans un bouchon = moins de pollution, CQFD!
Signaler RépondrePlus la circulation est fluide, plus on roule vite.
Signaler RépondreOn a tous déjà remarqué qu'en roulant en dehors des heures de pointe, on arrivait plus tôt à destination.
Je ne vois donc vraiment pas ce qu'il y a d'étonnant dans cette "étude"...