Pour les métropolitains lyonnais il est souvent difficile de trouver un logement adapté au budget ou à la situation familiale voire professionnelle de la personne. Certains salariés doivent même parfois habiter en dehors de la Métropole pour pouvoir être logé selon leurs moyens.
Ainsi grâce à Action logement qui finance le logement, les entrepreneurs et les salariés sont partenaires et ont un fond pour la construction de logements mais également pour la rénovation urbaine. A titre d’exemple, un bar des années 60 va être démoli pour reconstruire un nouveau logement. La Métropole de Lyon s’engage dans ce partenariat pour permettre de construire de nouveaux bâtiments et de financer toutes les opérations de rénovation.
"Pour nous c’est quelque chose d’important, surtout dans les quartiers sensibles où l’on détruit des logements obsolètes pour en créer de nouveaux. Un lieu où les salariés de nos entreprises puissent venir habiter. Pour qu’ils ne soient pas obligés de se loger à 30 ou 40 km de Lyon", a indiqué Gérard Collomb, le président de la Métropole de Lyon.
Pour rappel, en 2015 plus de 15 300 entreprises ont été créées dans la Métropole, ce sont plus de 100 établissements et une augmentation de 4000 emplois entre 2003 et 2010. Elle fait même partie du top 10 des 30 villes les plus attractives. Des statistiques qu'adore sortir Gérard Collomb, même si elles créent comme ici des conséquences non souhaitées.
Parmi les réalisations programmées par la Métropole, les communes, les bailleurs et l’ANRU (Agence nationale de rénovation urbaine) dont Action Logement, ce sont près de 1700 logements sociaux qui vont être démolis sur 7 communes et plus de 1110 logements sociaux qui seront réhabilités. Une première phase de mise en œuvre réalisée par le NPNRU (Nouveau programme national de renouvellement urbain). Un programme de 132 millions d’euros subventionnés par l’ANRU à hauteur de 58,7 millions, de 35,6 millions d’euros en subventions et de 23,1 millions de prêts.
"On ramène des salariés dans des quartiers comme Mermoz et on construit 30 % de logement sociaux dans le quartier de la Confluence par exemple. Des logements que l’on ne soupçonne même pas", a indiqué Gérard Collomb.
Jacques Charnut, président de Action Logement a rappelé "qu’il est surtout important d’avoir une réponse de logement adaptée face à cette question de l’emploi et des salariés de la Métropole".
Bien vrai. Prenons pour exemple cette ancienne ministre, coupable mais absoute pour "bons services rendus".
Signaler RépondrePourquoi focaliser sur Mermoz ?
Signaler RépondreC'est toute la ville, et tout le pays, qui part en coui**es
Il n'y a plus d'autorité, plus de sanctions, plus de règles, alors pourquoi se gêner ?
Les non samaries (retraités, chomeurs etudiants, fonctionnaires) n ont donc pas besoin d habiter en ville?
Signaler RépondreJe ne vois pas l interet d une telle mesure...
Peit etre que nos chers elus vont faire pareil pour les entreprises et leur fzvoriser l acces a des locaux commerciaux... Non?
Même gratuit, je n'irait pas habiter à mermoz !!
Signaler RépondreL'insécurité, les vols trafic et rackets y sont permanents !!
Vous voulez acheter tout ce qui est interdit ? mermoz est fait pour vous !!
Mais que font les services de l'état ?
La police interpelle, la justice remet en liberté.
Les victimes pleurent puis déménagent.
Déliquescence ordinaire d'une société co-gérée par les socialistes et républicains.