« Faire en sorte de rééquilibrer les corps électoraux ». C’est ainsi que Giuseppe Aviges, jeune vice-président de l’UNL justifie l’idée d’un droit de vote à 16 ans. Un vote mené auprès de 57.000 élèves dans plus de trois cents lycées de France montre que cette idée les a séduits.
Dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, 5724 élèves ont planché sur le sujet. Parmi eux, 67% se sont prononcés pour l’élargissement du droit de vote à 16 ans face à 37% contre. À l’échelle nationale, les résultats sont un peu plus faibles, 62% se sont dits pour l’élargissement du droit de vote à 16 ans alors que 38% s’y opposent.
Cette revendication, chère à l’UNL, est défendu par plusieurs candidats à la présidentielle de 2017. C’est le cas notamment de Jean-Luc Mélenchon, porte-étendard de la France Insoumise ou encore du porte-parole de François Fillon, Thierry Solère qui avait exprimé un avis favorable à la mesure en décembre dernier.
C'est ce qui s'est passé lorsque la majorité est passée de 21 à 18 ans !
Signaler RépondreBientôt il n'y aura plus que les séniors et les les jeunes pour venir voter...les autres ont pris l'habitude d'aller aux champignons les jours de scrutin...
Signaler RépondrePourquoi pas à dix ans . Ils sont en pleine croissance.
Signaler Répondrepetite question à ces jeunes : sont il d'accord pour que des 16 ans, ils soient jugés comme des adultes dès lors qu'ils commettent des crimes et délits. Parce que bon on peut pas d'un côté vouloir être traité comme un adulte pour voter et de l'autre comme un mineur lorsqu'on doit passé devant la justice..
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