L’élu est d’abord revenu sur la prise de parole lundi après-midi de François Fillon et sa décision de maintenir sa candidature à la présidentielle malgré de le fait qu’il soit touché par de nombreuses révélations. "En politique chacun doit prendre ses responsabilités. Je pense que François Fillon a décidé de prendre les siennes. Il a décidé d’aller au bout de cette échéance. Cette décision ne m’appartient pas, c’est la sienne".
Ayant assisté au meeting d’Emmanuel Macron samedi au Palais des Sports de Gerland, François-Xavier Pénicaud a donné son avis. "Pas séduit parce que ce n’est pas comme ça que j’aborde les questions politiques. La séduction est une chose dont il faut beaucoup se méfier. Sur le fond beaucoup de choses intéressantes. Je suis resté un peu sur sa faim sur le volet de l’éducation".
A la Région depuis plus d’un an dans la majorité aux côtés de Laurent Wauquiez, le président du MoDem du Rhône s’est montré plutôt optimiste. "On a des points de discussions de temps à autre mais dans l’ensemble je crois que le pacte de majorité est respecté".
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"Ou comment parler pour ne rien dire"
Signaler RépondreArrêtons de parler du ministre éphémère de Hollande, qui, dès sa campagne terminée, sa place de 3 ou 4ième ne lui permettant pas de poursuivre, retournera dans le milieu bancaire dont il est issu.
Signaler RépondreIl est temps de tourner la page et de passer aux choses sérieuses.
La principale chose intéressante chez Macron c'est qu'il marque une vraie rupture par rapport aux politiques traditionnels, de gauche comme de droite, tous formatés par l'ENA et ayant suivi le même cursus.
Signaler RépondreLe (vrai) changement, c'est maintenant et c'est Macron !
De Wauquiez à Macron !
Signaler RépondreUn petit effort et il pourrait s'allier à Mélenchon...
Un vrai élève de Mercier !
Ah bon!
Signaler RépondreLe Modem est passé à Droite?
Ils n'ont toujours pas compris que Macron s"en fichait de la politique. Cet ancien ministre de Hollande ne se sert de son ancien poste et de son "mouvement" qu'afin de booster sa carrière bancaire.
Signaler RépondreC'est pour ça que ce "phénomène éphémère" monté de toutes pièces ne peut durer, et ça, les vrais politiques s'en rendent compte mais un peu tard, après que ce quidam ait détruit le PS qui l'a fait connaitre.
Le vide en interview
Signaler RépondreMacron est un démagogue , au service du libéralisme financier .Point barre!
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