Une première enquête a été réalisée cette année par IPSOS pour la société d’assurance santé animale SantéVet auprès de 1 000 propriétaires de chiens et de chats.
Les conclusions dévoilées ce mardi mettent en avant le fait que les Français considèrent leurs animaux comme un membre de la famille.
Concernant les personnes ayant des chiens, 43% assurent que leur animal augmente le bien-être, 21% qu’il apporte une compagnie et 9% qu’il permet de maintenir une activité physique plus régulière.
Le constat est le même pour les propriétaires de chat : 58% estiment qu’il permet de se sentir mieux. Pour 4% des maîtres, le félin responsabilise les enfants.
Sur les habitudes en matière de santé, le premier réflexe face à la dégradation de l’état de son animal est de l’amener directement chez le vétérinaire. 29% appellent un proche ou le vétérinaire. Ils sont également plus d’un quart à ne pas se rendre au travail quand leur chat ou leur chien est malade.
Les nouvelles technologies entrent également dans la vie quotidienne des maîtres et de leurs animaux. Dans le top 3 des objets les plus utilisés, on retrouve le tracking GPS, l’appareil de contrôle de la santé de l’animal et le collier pour suivre l’activité et les conditions physiques de son animal.
A quand les révélations sur les indemnités chômage touchées par Mme Fillon et ses enfants après leurs licenciements financés par l'Assemblée Nationale ?
Signaler RépondreL'observatoire ne parle pas des animaux domestiques maltraités, et il y en a un certain nombre.
Signaler RépondreUne fois, j'ai téléphoné à la fondation B Bardot pour un chien maltraité, on m'a répondu qu'ils ne pouvaient rien faire, qu'il n'y a pas assez de bénévoles.
voilà quelqu'un qui a de l'ancienneté sur ce genre de boulot :
Signaler RépondreM.Cambadélis a été reconnu coupable en 2006 dans l'affaire des emplois fictifs de la Mutuelle nationale des étudiants de France (MNEF) et condamné à six mois de prison avec sursis et 20 000 euros d'amende au titre d'une activité fictive de conseil (620 500 francs).
Ce même donneur de leçons avait déjà été condamné en 2000 à cinq mois de prison avec sursis et 100 000 francs d'amende pour un emploi de complaisance de 1993 à 1995 dans une société gestionnaire de foyers de travailleurs immigrés dirigée par un ancien cadre du Front national.
On va bientôt nous révéler que le chien de monsieur Fillon a été rémunéré 4 000 euros nets par mois pour garder le chateau de Sablé-sur-Sarthe.
Signaler RépondreTout ça au frais du contribuable auquel on demande de faire des efforts, bien entendu.
Quelle époux(se) et/ou enfants et/ou proches d'élu(e)s sera salariés de cet Observatoire financé par l'argent public ?
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