Appartenant à la communauté des gens du voyage, ils étaient soupçonnés d’avoir commis le vol médiatisé de deux famas sur le parking du McDonald’s de La Verpillière dans le Nord-Isère.
L’oncle, déjà condamné par le passé à 18 reprises, a avoué avoir commis le vol mais a nié savoir qu’il s’agissait d’un fourgon banalisé de militaires, partis en pause-déjeuner. Les deux individus auraient pris des sacs dans le véhicule qu’ils pensaient appartenir à un artisan et se seraient rendus compte plus tard qu’ils étaient en possession de fusils d’assaut. "J’ai ouvert l’un des sacs et j’ai compris qu’on était dans la merde", a raconté Robert Wantersten. Ce qui ne l'a pas empêché de garder les famas et, selon les enquêteurs, de tenter de les revendre.
La substitut du procureur a alors démonté leur version, précisant qu’il n’y avait pas de sac dans le fourgon des militaires. Elle a requis des peines allant de 18 mois à 4 ans de prison pour l’oncle et son neveu, ainsi que le 3e complice chez qui l’un des fusils d’assaut a été retrouvé.
Robert Wantersten a écopé de 2 ans de prison et a été écroué. Son neveu Franky a été condamné à 18 mois ferme, tandis que Laurent Galea passera lui 10 mois derrière les barreaux.
Selon le Progrès, le parquet a décidé de faire appel de ce jugement.
"condamné par le passé à 18 reprises"
Signaler RépondreDehors.
Condamné à 18 reprises...
Signaler RépondreMais libre et avec toute sa capacité de nuisance
Mieux que tous les commentaires, cette histoire démontre l'échec total de notre système judiciaire et ouvre un boulevard à toutes les extrêmes
Merci à tous ces gouvernements mous et sans autre ambition que la carrière personnelle, qui se suivent et se ressemblent depuis... 40 ans ?
Avec un summum il faut le reconnaître avec Hollande et sa clique
Merci de ne surtout faire aucun amalgame. Les gens du voyages sont formidables!
Signaler RépondreVous semblez simplement oublier que Monsieur Fillon est un homme public élu qui utilise lui même les médias pour communiquer.
Signaler Répondre" Par rapport aux impératifs de protection de la vie privée . . La CNIL a, en conséquence, appelé l’attention des organismes de presse sur l’intérêt s’attachant à ce que la mise en ligne, sur des sites web en accès libre, de comptes-rendus de procès ou de décisions de justice citant les personnes physiques parties ou témoins au procès, suscite une réflexion d’ordre déontologique en concertation avec la CNIL, lorsque, la liberté d’information ne paraît pas nécessiter la désignation nominative des personnes concernées.En conclusion, même si du point de vue éthique et déontologique, il est contestable que le nom d’un prévenu soit divulgué dans la presse, aucune disposition juridique ne s’y oppose toutefois. "
C'est le droit à l'information !
Signaler RépondreQue le nom de François Fillon soit cité à tout bout de champ, ça vous choque ?
inadmissible de divulguer les noms et prénoms des personnes impliquées dans des affaires judiciaires
Signaler Répondreen ayant été condamné par le passé à 18 reprises, il doit être connu et même très connu, et son nom doit être inscrit partout
Signaler RépondreC'est presque une célébrité
Pourquoi insister sur les noms et prénoms ?
Signaler Répondre