Face à des Bourguignons regroupés en défense, l’OL faisait le jeu. A force de mettre la pression, l’OL ouvrait le score dès la 11e minute de jeu. Sur un corner mal apprécié par Dijon, Corentin Tolisso marquait dans le but vide (1-0).
Comme souvent, Lyon poussait ensuite mais ne faisait pas le break.
Ce sont donc les visiteurs qui en profitaient sur leur première occasion : Julio Tavares plaçait une superbe tête décroisée sur un corner joué en deux-temps (1-1).
A la 30e minute, Memphis avait la possibilité d’immédiatement redonner l’avantage aux siens. Mais le Néerlandais, seul face au but vide, tirait à côté.
Alexandre Lacazette, brouillon jusqu’à présent, sonnait la charge mais butait sur deux actions consécutives sur le portier adverse.
Au retour des vestiaires, Dijon repassait très rapidement devant grâce à une boulette du capitaine Maxime Gonalons. C’est l’une de ses spécialités en ce moment, le milieu perdait un ballon très important qui profitait à Loïs Diony (1-2).
Par Memphis, Tolisso et Lacazette, l’OL tentait de revenir dans la partie. Mais Baptiste Reynet réalisait le match parfait dans sa cage.
La juste récompense pour les Lyonnais intervenait à la 80e. Coco Tolisso s’offrait un doublé sur une superbe frappe à l’entrée de la surface (2-2). De quoi promettre aux Dijonnais une fin de rencontre haletante.
L’OL, lésé par l’arbitrage jusque-là, obtenait un penalty ultra-généreux à la 83e, transformé aisément par Alexandre Lacazette (3-2).
Dépassés, les Dijonnais encaissaient même un 4e but, par Nabil Fekir, infiltré dans la surface et qui déclenchait une frappe enroulée délicieuse.
Cette victoire permettait aux hommes de Bruno Genesio d’enchaîner enfin, mais surtout de creuser l’écart avec Saint-Etienne, battu à Montpellier. Jeudi soir, il faudra capitaliser ce bon résultat lors de la réception de l’AZ Alkmaar à Décines pour le 16e de finale retour de Ligue Europa.
Aulas n'a pas remercié l'arbitre qui a permis à son club d'obtenir un penalty généreux à un moment crucial?
Signaler RépondreLe foot c'est pour pour les clubs nantis et le fric à outrance.A dégager
Faute de grives, on mange des merles,les relégables
Signaler RépondreOlympique Lourdes oh ....miracle miracle
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