Pour ce dernier, les riverains et l'association contre l'extension et les nuisances de l'infrastructure réclamaient l'annulation du décret et du cahier des charges, signalant le développement prévu par Vinci de l'aéroport comme un danger.
Le syndicat des compagnies aériennes autonomes s'inquiétait de son côté que la privatisation de Saint-Exupéry entraîne une "remise en cause du régime actuel des redevances applicables à ses membres". Une crainte qui s'appliquait également à l'aéroport de Nice.
Vinci Airports, la Caisse des Dépôts et Crédit Agricole Assurances sont désormais les actionnaires majoritaires de l’aéroport de Saint-Exupéry mais également celui de Lyon Bron jusqu’au 31 décembre 2047. "L’ambition des nouveaux actionnaires est de faire des deux plates-formes aéroportuaires le reflet du dynamisme de la région Auvergne-Rhône-Alpes et de la Métropole de Lyon", déclaraient-ils dans un communiqué en novembre dernier.
Si ca arrive ca ne viendra pas de vous car votre position paranoïaque est inaudible, même si vous avez raison.
Signaler RépondreLes Kataris n'ont absolument rien à voir dans ce dossier. C'est l'ACENAS, association de riverains, qui a déposé ce recours. Le prétexte avancé: la construction envisagée de deux nouvelles pistes serait préjudiciable à l'environnement. Or, il est prouvé que les deux pistes actuelles sont largement suffisantes pour dépasser 20 millions de passagers (2016: 9.6 millions). Genève, avec une seule piste, accueille 16.5 millions de passagers. Ce qu'il faut souligner et qui SEUL compte, c'est le nombre de mouvements. Or il stagne, car la capacité des avions augmente. Il est donc tout à fait normal que l'ACENAS soit déboutée, son action étant dénuée d'arguments.
Signaler Répondreles KATARIS n'auront pas l'aeroport lyon satolas une belle chose ENFIN!!!!!!!!
Signaler RépondreA force de se faire avoir systématiquement par les "intérêts économiques", peut être que les citoyens vont finir par voir l'intérêt de commencer à construire un système post-monétaire ?
Signaler Répondre:o)
Il est certain que "estimer que les décrets et cahiers des charges entraîneraient une remise en cause du régime actuel des redevances applicables à ses membres..." n'est pas le meilleur argumentaire possible pour faire prévaloir l'abus de pouvoir. Un autre angle d'attaque aurait peut-être été plus fructueux: "la nécessité de rémunérer l'achat des parts en capital entrainera une augmentation automatique des redevances et donc affectera négativement l'économie des opérations des membres, toutes choses égales par ailleurs".
Signaler RépondreLe fait est que les prix de cession sont très élevés (plus de 20 fois l'ebitda) et que cela aura un effet négatif sur les redevances et l'économie du transport aérien.