La joie d'Alexandre Lacazette, partagée avec une ramasseuse de balle - LyonMag
Le match retour, puisque l’aller n’a toujours pas été rejoué depuis l’arrêt de la rencontre en décembre, à cause de jets de pétards sur Anthony Lopes.
Bruno Genesio enregistrait de son côté le retour de Mathieu Valbuena, mais devait se passer de Maxime Gonalons, retenu à Lyon pour "raisons familiales". Les Lorrains étaient eux privés de 8 joueurs-clés.
L’occasion était belle de creuser l’écart avec Saint-Etienne, défait contre Caen quelques minutes plus tôt.
Mais c’était Metz qui donnait sa première frayeur au public lyonnais. Mandjeck taclait seul devant le but vide mais ratait la balle et se heurtait au poteau (1ere minute).
Place ensuite à la puissance offensive de l’OL, emmenée par un quatuor aux jambes de feu. Memphis et Fekir notamment faisaient tourner les têtes des défenseurs messins, sans pour autant inquiéter Didillon.
Il faudra attendre la 43e minute pour l’ouverture du score signée Depay. Le Néerlandais était à la conclusion d’une énième combinaison, ponctuée par une frappe de Lacazette sur le poteau qui rebondissait dans le dos du gardien pour finir dans les pieds du buteur (1-0).
Au retour des vestiaires, c’est à nouveau Memphis qui scorait. A la 53e, l’ailier récupérait le ballon dans les pieds d’un défenseur et ajustait Didillon pour son premier doublé à Lyon (2-0).
L’ancien Mancunien était fortement impliqué dans le 3e but lyonnais. Seul face au gardien, Depay glissait le ballon à Lacazette mais c’était le défenseur messin Balliu qui marquait contre son camp à la 74e (3-0).
Alexandre Lacazette allait finalement marquer quatre minutes plus tard mais il ne le devait qu’à lui-même. L’attaquant antillais se jouait des défenseurs sur deux dribbles magistraux avant de trouver la lucarne d’une belle frappe du gauche (4-0).
Mathieu Valbuena concluait la marque d'un superbe lob (5-0). La fête était belle.
Le déplacement la semaine prochaine à Bordeaux s’annonce passionnant. Nouveaux poursuivants en chef de l’OL, les Girondins pourraient revenir à un point de leur adversaire en cas de victoire…
on vous l'avait dit, ca sent la faillite a plein nez !
Signaler Répondrefaut quand même rien n'exagérer , c'était Metz en face, pas le PSG
Signaler RépondreON TRIOMPHE SANS GLOIRE !
Signaler Répondreévidemment !
ce sera plus dur dur pour la suite