Interrogé sur le montant des subventions touchées par le Radiant-Bellevue, Victor Bosch s’est montré clair. "Nous percevons exactement 753 000 euros. Ce n’est presque rien par rapport à un endroit qui va avoir un chiffre d’affaires de trois millions d’euros".
Le directeur de la salle de spectacles de Caluire est également revenu sur la programmation. "Au mois d’avril, nous allons accueillir "Vu du Pont" qui est une pièce où il y a Charles Berling en tête d’affiche. Nous faisons ça en collaboration avec le Théâtre des Célestins. C’est une pièce qui va mériter des investissements incroyables en amont et en aval, c’est-à-dire que nous faisons transformer totalement le théâtre".
"Nous allons accueillir Vincent Delerm, Gregory Porter… La vocation du lieu est d’accueillir de la chanson française, de la variété, tous les types de spectacles car c’est un théâtre qui est ouvert. Toutes les disciplines sont représentées", a également précisé Victor Bosch.
Celui qui fut l’un des producteurs de la comédie musicale "Notre Dame de Paris" a aussi des projets. "J’en ai deux en ce moment sur la table. J’aurais bien aimé faire au moins un film dans ma vie. Je suis aussi en train d’étudier un projet qui peut être pas mal autour de Jeanne d’Arc avec Laurent Voulzy".
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Cochet a vraiment eu du nez en recrutant Victor Bosch.
Signaler RépondreCollomb avait chassé Bosch et il doit s'en mordre les doigts.
Les Caluirards sont enchantés.
Caluire est devenu un phare au niveau culturel