Le maire communiste de Givors sait déjà qu'il comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Lyon cet été dans le cadre de l'affaire de prise illégale d'intérêts présumée lorsqu'il avait recruté sa soeur comme directrice générale des services.
Il a désormais appris qu'il était visé par une nouvelle enquête préliminaire, ouverte selon le Progrès le 22 février dernier.
"Détournement de fonds publics", "prise illégale d'intérêts", "faux" et "favoritisme", autant de chefs qui intéressent la police et le procureur de la République qui se basent sur un signalement au parquet effectué par la Chambre régionale des comptes. Cette dernière s'était penchée depuis plusieurs semaines sur la gestion de Givors, elle devra prochainement rendre son rapport.
Des auditions voire des perquisitions sont à prévoir dans les prochains jours. Au procureur ensuite de décider s'il poursuit les investigations, renvoie un ou des élus devant la justice ou classe l'affaire sans suite. On ne sait pas encore si cela concerne la plainte de l'élu givordin Mohamed Boudjellaba qui dénonçait des incongruités dans les frais de représentation du maire.
Faut que les Givordins se réveillent, les communistes dehors par les urnes. Ce Maire gère la ville comme une taverne. Vivement qu'ils partent, la ville est devenue un territoire nauséabond
Signaler Répondreil suffit de les mettre dehors tous ces élus qui ne bossent que pour eux, comme déjà fait par les communes de l'Est lyonnais, et ça ne va que mieux !!
Signaler RépondreLes accusations s'empilent. La Ville est violée par les affaires. Et les élus de la Majorité (communistes, socialistes, personnalités...) se taisent. Coupables ? Complices ? 60 ans sans partage. 60 ans de gestion entre copains. Pour la commune ? Ou pour des egos ?
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