Il ne manque plus que la mère ! Damien Colcombet, l’artiste sculpteur en charge du projet présentait jeudi son girafon en bronze à la presse. Si l’animal est bien fini, la sculpture totale, censée représenter une mère girafe et son girafon, n’est pas encore complète. Pour son concepteur, "c’est un très beau projet et une œuvre qui sera au service de tous". Il ne se rémunère pas sur ses deux sculptures de girafes, il travaille pourtant dessus depuis près de 14 mois. "Heureusement, les ventes de mes autres sculptures me permettent déjà de vivre" assure l’artiste.
L’idée d’installer une sculpture animalière lui est venue de ses voyages. "Pour trouver l’inspiration, j’ai visité des dizaines de zoo dans le monde et je me suis aperçu que dans presque tous les zoos, il y avait des sculptures animalières" raconte Damien Colcombet. L’artiste s’est rendu compte que dans le zoo du parc de la Tête d’Or, "situé au sein d’un très beau parc", il n’y avait pas de sculptures animalières. Lyonnais avant tout, l’artiste a donc souhaité se lancer dans la conception d’une sculpture en bronze de girafe femelle et de son girafon, car "Lyon possède l’un des rares zoos de France où l’on arrive à faire reproduire les girafes". "C’est un très bel emblème et puis la girafe vient d’être classée parmi les espèces vulnérables donc c’est aussi un message en faveur de la préservation de la biodiversité" ajoute-t-il.
Un projet à 400 000 euros
Pour financer le projet, l’homme, accompagné de Jean Brunet-Lecomte, fondateur du fonds de dotation "Devenir", a dû chercher des financements. Damien Colcombet insiste : "ce projet a été financé grâce aux donateurs et à des mécènes uniquement". Au total, le projet a coûté quelque 400 000 euros, près de la moitié ont été financés par des mécènes et sponsors tandis que l’autre moitié a été récolté grâce aux dons. En effet, deux campagnes de financement participatif de 15.000 euros ont été lancées et menées à terme par les deux hommes et, selon Jean Brunet-Lecomte : "ce fut un franc succès".
"Sans le fonds "Devenir", je n’aurais jamais pu réaliser ce projet" indique Damien Colcombet. Son fondateur, Jean Brunet-Lecomte insiste sur le fait que l’artiste a pu réaliser son rêve en se lançant dans l’art. "J’ai passé 20 ans dans la finance dont 10 en tant que Directeur financier d’un grand groupe" indique l’artiste, "et j’ai réussi à me reconvertir". "Les gens n’osent pas se convertir, mais Damien est l’exemple que si le projet est sérieux et ambitieux, tout le monde peut le faire" indique Jean Brunet-Lecomte.
Les deux sculptures seront normalement installées à l’automne 2017 au sein du zoo du parc de la Tête d’Or, mais l’emplacement de la girafe et de son girafon reste, pour l’artiste "une dernière surprise à offrir aux Lyonnais".
n'avais je pas dit qu'il est en mode veille sur tous les forums pour s'occuper et - je le confirme - tenter de faire de l'intox en souhaitant que les lecteurs boivent ses mensonges et ses omissions et ses dérives comme du petit lait
Signaler RépondrePour lui, la part de nos impots qui financent toutes les structures satellites dont les présidents profitent pour la plupart à des fins personnelles, ne serait pas qualifiées de contributions
et en plus, en plus de se payer sur notre dos des opérations médiatiques comme cette statue, il nous prend pour des benêts !
ok. sauf que d'ou provient l'argent de la région rhone alpes ?
Signaler Répondrel'argent de l'état ? et l'argent de symalim ?
Toutes sont des organisatiions qui dependent indirectement de notre argent de contribuable.
C'est tres different de l'argent d'un projet privé, qui ne vient pas des contribuables, mais des banques et des profits réalisés par ces personnes morales.
Si vous ne voyez pas la difference, il faut imaginer la region rhone alpes, l'etat, la drac, ou le symalim , dans une société sans aucun impot , aucune taxe.
Que resterait il alors à ces organisations ?
Donc , il est parfaitement exact d'écrire que ce sont bien les contribuables qui ont payé
Pourquoi ne pas dire la vérité ?
Signaler RépondreLes 800 000 € (769 000 € en réalité) que vous évoquez pour la sculpture du parc de Miribel n'ont pas été financés par les contribuables locaux..
Région Rhône-Alpes: 50 000€
L'Etat, par l'intermédiaire de la Drac: 240 000€
Le Syndicat propriétaire du Grand Parc (Symalim): 479 000€
Quand on accuse autrui de faire de l'intox, il faut commencer par dire la vérité, vous ne croyez pas ?
Normal que ce soit des fondations ou des mécènes qui financent ce genre de truc
Signaler Répondrece qui ne fut pas le cas ailleurs, soit 800.000 euros à la charge des contribuables, le tout pour faire valoir ce pauvre ex maire de Décines qui, après avoir refusé une consultation citoyenne dans un projet fumeux de don de terrains, de financements divers et multiples pour satisfaire à son baron local, s'est fait naturellement GICLER par la consultation officielle des municipales qui suivait
Depuis .... il s'occupe, et noie son temps d'oisiveté dans les forums à tenter de se justifier et de faire de l'intox
https://www.lyonmag.com/article/73650/grand-parc-de-miribel-jonage-polemique-autour-d-8217-une-sculpture-a-769-000-euros