Dans un premier temps, elle avait indiqué avoir été forcé par trois individus à monter dans une camionnette à la sortie de son stage, vendredi après-midi rue Antoine Charial dans le 3e arrondissement.
La jeune fille avait également déclaré lors de sa plainte avoir été agressée sexuellement par ces trois personnes.
Lors de sa seconde audition, la victime a finalement fini par reconnaitre qu’elle avait menti sur toute la ligne.
Que cache ce mensonge ?
Signaler Répondre