Le mouvement a pris vie aux Etats-Unis, où les premières décisions du président Donald Trump ont été vécues comme un reniement de la communauté scientifique, à l’instar de la nomination du climatosceptique Scott Pruitt à la tête de l’Agence de l’environnement.
A Lyon, les différentes filières scientifiques avaient répondu à l’appel durant l’après-midi, et notamment venues de l’ENS. Au total, 635 manifestants ont été revendiqués par les organisateurs, à l’issue d’un comptage…scientifique forcément.
"La science n’a pas de patrie", pouvait notamment lire sur les banderoles déployées entre la Guillotière et Bellecour.