Le Rhône est concerné tout comme l’Isère, l’Ain, la Savoie, la Drôme et l’Ardèche où le moustique-tigre est considéré comme "présent et actif". De son nom scientifique Aedes albopictus, l’espèce a également été repérée dans la Loire.
Créé en 2006, ce plan de vigilance a pour objectif de prévenir et de limiter la circulation des virus puisque le moustique-tigre est capable de transmettre des maladies comme la dengue, le chikungunya ou encore le zika qui se traduisent notamment par une fièvre élevée et des courbatures.
Les autorités recommandent aux habitants des départements concernés de limiter au maximum les endroits où l’eau pourrait stagner (soucoupes sous les pots de fleurs, piscines gonflables…) puisque c’est là que le moustique tigre, identifiable grâce à ses rayures noires et blanches sur son corps et ses pattes, se développe. Toute personne malade doit également se signaler auprès de l’Agence régionale de santé concernée.
Le dispositif restera actif jusqu’au 30 novembre.