Villeurbanne : incapables de démarrer la voiture qu'ils tentaient de voler, ils prennent la fuite à pied

Villeurbanne : incapables de démarrer la voiture qu'ils tentaient de voler, ils prennent la fuite à pied
LyonMag

Un Vaudais a été interpellé ce mardi pour tentative de vol et vol aggravé.

Les faits remontent au 11 mai de l'année dernière, rue Frédéric Faÿs à Villeurbanne. Accompagné d'un complice toujours en fuite, un Vaudais âgé de 18 ans avait alors tenté de s'emparer d'un véhicule. Les deux individus avaient extrait de force une femme de son véhicule, un SUV de la marque Mercedes. La victime, habitant Champagne-au-Mont-d'Or, était âgée de 31 ans au moment des faits.

Visiblement peu aguerris à la conduite, les deux hommes n'étaient pas parvenus à démarrer le véhicule, équipé d'une boite de vitesses automatique.

Les larrons s'étaient finalement enfuis, à pied, avec le sac à main de leur victime. Mais pas au bout de leurs peines, ils sont tombés sur un témoin qui est parvenu à récupérer l'objet du vol. C'est donc à pied et sans butin que les mis en cause ont finalement quitté les lieux.

Le Vaudais a finalement été interpellé ce mardi et identifié grâce à l'ADN qu'il avait laissé sur les lieux.

Ce dernier a été présenté au parquet dans la journée de mardi. Il a été laissé libre et une information judiciaire a été ouverte.

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10 commentaires
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merci le 10/05/2017 à 18:07
partis populistes a écrit le 10/05/2017 à 17h26

il veut nous dire quoi le zeus? que Lordon défend Melenchon?on sait très bien que Lordon est un adepte du communisme faisant parti des économistes atterrés ,mais ce n'est qu'un jugement de valeur et pas un fait objectif:on peut considérer que Melenchon (qui fait parti du système avec ses 40 ans de mandat socialiste) est l'égal de Lepen dans le populisme pour se nourrir de la crise des partis traditionnels

Vous prouver le point ci-dessous :

On peut remuer en tous sens le fumier de l’éditorialisme, on n’y trouvera rien qui, en dernière analyse, ne se ramène à ceci : Mélenchon, c’est Le Pen.

On comprend l’urgence et la grossièreté du procédé : accorder toute autre valeur à la différence Mélenchon, c’est rouvrir la possibilité, que le système, aidé de son monstre, s’efforçait de maintenir fermée : la possibilité de faire autre chose.

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vinatier le 10/05/2017 à 17:49
partis populistes a écrit le 10/05/2017 à 17h26

il veut nous dire quoi le zeus? que Lordon défend Melenchon?on sait très bien que Lordon est un adepte du communisme faisant parti des économistes atterrés ,mais ce n'est qu'un jugement de valeur et pas un fait objectif:on peut considérer que Melenchon (qui fait parti du système avec ses 40 ans de mandat socialiste) est l'égal de Lepen dans le populisme pour se nourrir de la crise des partis traditionnels

définis populiste et explique pourquoi M. Melenchon l'est.

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partis populistes le 10/05/2017 à 17:26
zeus. a écrit le 10/05/2017 à 17h03

c'est sans doute trop compliqué pour vous pour comprendre mais voici un extrait d'un article de Frédéric Lordon,qui explique pourquoi l'extrème droite est utile au systeme, si vous comprenez ça vous comprendrez pourquoi on laisse l'insécurité se développer autant :

http://blog.mondediplo.net/2017-04-19-Les-fenetres-de-l-histoire

Le traitement différencié des « antisystème » offre donc le meilleur point de vue sur l’économie générale du système.
Seule une sensibilité énervée au charisme de pacotille du candidat Macron permet de continuer à croire qu’un visage frais et le contournement des partis, aux seules fins d’un recyclage à large spectre pour faire exactement la même chose, peut passer pour une subversion du système — dont le bonheur à se laisser subvertir était depuis le début assez parlant.

Mais c’est certainement le cas de Marine Le Pen qui expose les propriétés les plus paradoxales, les plus retorses même, de cette économie générale. Car Le Pen est cette sorte particulière d’antisystème fonctionnelle au système.

Le FN est ce merveilleux péril, cette providentielle horreur, qui permet à soi seul de « fixer » l’idée d’alternative et, par cette fixation même, de rendre essentiellement abominable tout projet de « faire autre chose » — quelle que soit cette autre chose.

Même dans une démocratie aussi approximative que la nôtre, seul le recours à un monstre de service parvient maintenant à stabiliser un ordre devenu socialement odieux à des fractions de plus en plus larges de la population. Il fallait donc aménager la scène de telle sorte qu’entre le CICE et la bête immonde il n’y ait rien.

Le système et son antisystème préféré ont alors fini par s’installer dans un rapport de symbiose objective où chacun trouve à prospérer aux frais de l’autre, le second en cultivant la singularité que lui reconnaît généreusement le premier (même si c’est négativement), et le premier en trouvant dans le second le parfait repoussoir qui sert désormais d’ultime argument à son maintien indéfini.

Cette harmonie fonctionnelle dans laquelle l’ordre s’est fort bien accommodé d’un « autre » monstrueux, lui accordant le monopole de l’alternative pour se garantir à lui-même celui de la raison (celle dont Alain Minc aura tant dessiné le cercle), cette harmonie ne devait surtout pas être perturbée par l’irruption d’une tierce proposition, qui remanierait complètement le paysage des différences.

La candidature Mélenchon est cette calamité de la différence indésirable, celle qu’il fallait impérativement empêcher de surgir pour préserver l’identité bien installée de « l’antisystème » et du « nauséabond » — c’est-à-dire l’assurance tous risques du système.
On mesure alors l’exacte teneur démocratique du système à l’énergie qu’il déploie pour tenter de tuer la seule différence admissible du paysage. Pour repousser ce sort adverse d’une différence inopportune, il n’a à tout prendre qu’un seul argument : nier la différence. Ou plutôt nier la différence de la différence, et faire comme si elle était en définitive identique à la seule différence dont il aménage la place : la différence fasciste.

On peut remuer en tous sens le fumier de l’éditorialisme, on n’y trouvera rien qui, en dernière analyse, ne se ramène à ceci : Mélenchon, c’est Le Pen.

On comprend l’urgence et la grossièreté du procédé : accorder toute autre valeur à la différence Mélenchon, c’est rouvrir la possibilité, que le système, aidé de son monstre, s’efforçait de maintenir fermée : la possibilité de faire autre chose.

il veut nous dire quoi le zeus? que Lordon défend Melenchon?on sait très bien que Lordon est un adepte du communisme faisant parti des économistes atterrés ,mais ce n'est qu'un jugement de valeur et pas un fait objectif:on peut considérer que Melenchon (qui fait parti du système avec ses 40 ans de mandat socialiste) est l'égal de Lepen dans le populisme pour se nourrir de la crise des partis traditionnels

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zeus. le 10/05/2017 à 17:03

c'est sans doute trop compliqué pour vous pour comprendre mais voici un extrait d'un article de Frédéric Lordon,qui explique pourquoi l'extrème droite est utile au systeme, si vous comprenez ça vous comprendrez pourquoi on laisse l'insécurité se développer autant :

http://blog.mondediplo.net/2017-04-19-Les-fenetres-de-l-histoire

Le traitement différencié des « antisystème » offre donc le meilleur point de vue sur l’économie générale du système.
Seule une sensibilité énervée au charisme de pacotille du candidat Macron permet de continuer à croire qu’un visage frais et le contournement des partis, aux seules fins d’un recyclage à large spectre pour faire exactement la même chose, peut passer pour une subversion du système — dont le bonheur à se laisser subvertir était depuis le début assez parlant.

Mais c’est certainement le cas de Marine Le Pen qui expose les propriétés les plus paradoxales, les plus retorses même, de cette économie générale. Car Le Pen est cette sorte particulière d’antisystème fonctionnelle au système.

Le FN est ce merveilleux péril, cette providentielle horreur, qui permet à soi seul de « fixer » l’idée d’alternative et, par cette fixation même, de rendre essentiellement abominable tout projet de « faire autre chose » — quelle que soit cette autre chose.

Même dans une démocratie aussi approximative que la nôtre, seul le recours à un monstre de service parvient maintenant à stabiliser un ordre devenu socialement odieux à des fractions de plus en plus larges de la population. Il fallait donc aménager la scène de telle sorte qu’entre le CICE et la bête immonde il n’y ait rien.

Le système et son antisystème préféré ont alors fini par s’installer dans un rapport de symbiose objective où chacun trouve à prospérer aux frais de l’autre, le second en cultivant la singularité que lui reconnaît généreusement le premier (même si c’est négativement), et le premier en trouvant dans le second le parfait repoussoir qui sert désormais d’ultime argument à son maintien indéfini.

Cette harmonie fonctionnelle dans laquelle l’ordre s’est fort bien accommodé d’un « autre » monstrueux, lui accordant le monopole de l’alternative pour se garantir à lui-même celui de la raison (celle dont Alain Minc aura tant dessiné le cercle), cette harmonie ne devait surtout pas être perturbée par l’irruption d’une tierce proposition, qui remanierait complètement le paysage des différences.

La candidature Mélenchon est cette calamité de la différence indésirable, celle qu’il fallait impérativement empêcher de surgir pour préserver l’identité bien installée de « l’antisystème » et du « nauséabond » — c’est-à-dire l’assurance tous risques du système.
On mesure alors l’exacte teneur démocratique du système à l’énergie qu’il déploie pour tenter de tuer la seule différence admissible du paysage. Pour repousser ce sort adverse d’une différence inopportune, il n’a à tout prendre qu’un seul argument : nier la différence. Ou plutôt nier la différence de la différence, et faire comme si elle était en définitive identique à la seule différence dont il aménage la place : la différence fasciste.

On peut remuer en tous sens le fumier de l’éditorialisme, on n’y trouvera rien qui, en dernière analyse, ne se ramène à ceci : Mélenchon, c’est Le Pen.

On comprend l’urgence et la grossièreté du procédé : accorder toute autre valeur à la différence Mélenchon, c’est rouvrir la possibilité, que le système, aidé de son monstre, s’efforçait de maintenir fermée : la possibilité de faire autre chose.

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kasne le 10/05/2017 à 16:38

Quoi ! Il faut pas dire racaille.

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ca suffit le 10/05/2017 à 15:44
verite a écrit le 10/05/2017 à 12h51

Quoi!!! Laissé libre !!! A oui ç ést vrai pas d amalgame , ét vive macron . Encore 5 années de laxisme pur et dur nous attend !!!

il a été élu pour 5 ans vous n allez pas nous emmer...avec votre macron bashing

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verite le 10/05/2017 à 14:23

Reponse a non !! Donc je ne vous souhaite pas que pendant l enquête ce meme individu vienne chez vous pour faire pire !! A bonne entendeur !! Ét le fonctionnement de la justice je le connais très bien !!

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non le 10/05/2017 à 13:06
verite a écrit le 10/05/2017 à 12h51

Quoi!!! Laissé libre !!! A oui ç ést vrai pas d amalgame , ét vive macron . Encore 5 années de laxisme pur et dur nous attend !!!

laissé libre en attendant l'enquête, arrêtez de raconter n'importe quoi vous qui ne connaissez rien au fonctionnement de la justice

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Post monétaire le 10/05/2017 à 12:58
verite a écrit le 10/05/2017 à 12h51

Quoi!!! Laissé libre !!! A oui ç ést vrai pas d amalgame , ét vive macron . Encore 5 années de laxisme pur et dur nous attend !!!

C'est beau la légende du laxisme alors que les prisons sont plus que pleines :o)

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verite le 10/05/2017 à 12:51

Quoi!!! Laissé libre !!! A oui ç ést vrai pas d amalgame , ét vive macron . Encore 5 années de laxisme pur et dur nous attend !!!

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