Tout a commencé avec une consommatrice du Québec qui a acheté le produit pour elle ainsi que son fils âgé de cinq ans. Mais selon elle, l’scillococcinum n’a pas soulagé son état grippal ni même celui de son fils.
Ainsi, la consommatrice a saisi la justice pour demander réparation. Cette dernière avait été refusée en première instance. Finalement, la Cour suprême du Canada a donné, jeudi dernier, le feu vert pour une action collective contre Boiron Canada.
Selon le site Ledevoir.com, la branche canadienne de la compagnie lyonnaise affirme que ces accusations sont "non prouvées" et qu’ils ont "l’intention de contester la demande introductive".