Il s'agissait d'un mouvement régional des personnels de centres psychiatriques qui dénonce un secteur en danger à cause du "manque de lit", de la "tyrannie budgétaire" ou encore la "dégradation de la qualité des soins".
Selon eux, les "soignants ne sont pas des machines". Et ils craignent des fermetures d'unités et structures de proximité pour réaliser plusieurs millions d'euros d'économies.
Personne donc pour surveiller Post Monétaire ?
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