Les documents, conservés aux Archives nationales et aux Archives du département du Rhône et de la métropole de Lyon, seront désormais consultables.
En ouvrant, le dossier aussi sanglant qu’emblématique, du chef de la Gestapo lyonnaise, les ministères souhaitent "progresser dans la connaissance de ce procès (…) et de favoriser toujours davantage le travail de mémoire autour du symbole d’une lutte obstinée pour la vérité."
Depuis plusieurs années les ministères de la Justice et la Culture mènent un plan d’ouverture sur les archives de la Seconde Guerre Mondiale dans le but de "lutter contre le révisionnisme et l’oubli".