Dans le Rhône, une bonne dizaine de candidats avaient fait savoir que leurs professions de foi n'avaient pas été distribuées aux électeurs. Ou bien partiellement. La préfecture avait reconnu les couacs mais n'avait pas remis en cause le scrutin.
Ce lundi, le Progrès révèle que l'étau se ressere autour de Koba, la société basée à Décines et qui était chargée de la distribution de ces documents de campagne au 1er et au second tour de l'élection du mois de juin. La préfecture du Rhône, au nom de l'Etat, est en train d'évaluer le préjudice et devrait lui proposer un arrangement à l'amiable avec une indemnisation. Des suites judiciaires pourraient être entamées en cas de refus de Koba.
Selon les premiers diagnostics, il semblerait que Koba n'ait pas suffisamment embauché de personnel pour mettre les professions de foi sous pli, et surtout de surveiller le bon déroulement de l'opération.
La préfecture du Rhône n'a toutefois aucune explication sur la disparition massive de documents : la quasi-totalité des 82 000 professions de foi de Béatrice Vessiller, candidate EELV à Villeurbanne, étaient restées à quai. Or, elles sont introuvables, comme celles des autres candidats lésés. Ce qui ne joue pas en la faveur de Koba.
Cette société s'est occupée apparemment d'autres régions, et il n'y a pas eu ces mêmes problèmes.
Signaler RépondreMais vous avez raison, comme les citoyens ne veulent plus payer d'impôt, on radine tout, et au final... ce monde monétaire devient du gros n'importe quoi. Et la démocratie, est tronquée.
On a fait appel au moins disant...
Signaler RépondreQuand ce n'est pas cher, on en a toujours pour son argent !
KOBA? qui sont les dirigeants?
Signaler Répondrele vol est puni par la LOI... que la justice passe
Signaler RépondreJ'ai porté plainte pour "abus de confiance",
Signaler Répondrequi pourra être requalifier le cas échéant,
j'ai envoyé une lettre avec accusé de réception à la préfecture pour demander au préfet des explications sur "la responsabilité de la préfecture dans le contrôle" et savoir "où étaient passées ces dizaines de milliers de circulaires qui ont disparu".
On verra bien ce qu'il en ressort.
Mais n'oublions jamais que les services de l'Etat ont tout de suite annoncé : "ces incidents ne remettent pas en cause le bon déroulement du vote".
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post monétaire aurait ourdi ce complot afin de faire croire à un complot d'un enemi ereditaire de ce dernier en vue de déstabiliser l'organisation globale de toute la société et du monde. A coup sur... ;-)
Signaler RépondreCe n'était donc pas un complot pour empêcher Post Monétaire d'accéder à la députation ?
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