Et qui révélaient qu'ils n'avaient plus la possibilité d'intervenir sur les tapages nocturnes entre Rhône et Saône, faute de moyens.
La DDSP, restée muette à nos demandes, a donc choisi de sortir (enfin) les chiffres des interventions dans un communiqué de presse. Ainsi, en 2016, les policiers rhodaniens seraient intervenus à 4013 reprises pour des tapages nocturnes. Ce qui est assez peu à côté des 28 726 interventions pour nuisances et troubles à l’ordre public.
Elle rajoute que durant le 1er semestre de l’année 2017, déjà 14 336 interventions pour ces trois faits combinés ont été recensées. En l’absence de détails, on imagine qu’à nouveau, nuisances et troubles à l’ordre public représentent la grande majorité de ces 14 336 interventions.
"Malgré le contexte sécuritaire tendu notamment depuis les attentats de novembre 2015 et les très nombreuses missions confiées à la Police nationale, les effectifs de la Sécurité Publique notamment de Police Secours restent mobilisés contre toutes les formes de délinquance et troubles à l’ordre public et au service de toutes les populations", poursuit la DDSP dans son communiqué. Il est dommage de ne pas avoir donné les chiffres des interventions avant les attentats de 2015, pour justement se rendre compte si la police lyonnaise a encore la possibilité d’intervenir aujourd’hui comme hier.
Il faut bien qu'il y est des blaireaux qui travaillent pour les autres . On s'en la jalousie dans vos propos et pourtant VOUS etes assez cons pour allez VOTER et pour travailler comme des zombies.
Signaler RépondreIL y a peut être aussi trop de prestations sociales qui permettent a certaines familles de vivre sans bosser, donc de se coucher a 4 heures du matin pour se lever a 13 heures.
Signaler RépondreIci, comme ailleurs en France, et avec plaintes et
Signaler Répondreinterventions policières, la police ne peut pas faire
grand chose sans un suivi de justice. Si ce n'est
qu'une remontrance verbale cela n'aura aucune
efficacité. Donc, comme trop souvent hélas, la police
- avec ses moyens et effectifs - intervient quasiment
pour rien. Idem pour d'autres délits classés sans suite.
Enfin, lorsque quelques policiers - pas non plus
toujours formés adéquatement - se retrouvent confrontés à des bandes qui se forment
spontanément à leur approche, alors, oui, ce qui se rapproche de la "guerre" urbaine mériterait beaucoup
plus d'attentions, de moyens mais aussi de sévérité.
Encore un complot ?
Signaler RépondreNe confondez pas tout,
Signaler Répondrel'article a l'origine de cette histoire est très clair.
celui qui dit qu'ils n'interviennent plus pour le tapage nocturne est une source anonyme. Elle peut dire (et inventer) ce qu'elle veut.
Les syndicats eux disent qu'ils interviennent mais avec peu de moyen (ex :6 policiers pour 2000 personnes sur les berges).
Relisez bien l'article
ils interviennent a Caluire et Cuire, pas plus tard que la nuit derniere
Signaler RépondreAimerais bien savoir ou ils interviennent,, comme cela on ira tous vivre dans ces quartiers. Et le nombre d appels auxquels ils ne répondent pas, on peux avoir les chiffres. La DDSP est forte pour donner des chiffres, par contre elle est muette sur les consignes données.. Si voulez savoir pourquoi ils n interviennent presque plus pour les tapages nocturnes, prenez la peine de poser la question aux policiers de votre quartier, et vous verriez que si cela ne tenait qu'à eux, ils agiraient mais ils ont des consignes,
Signaler Répondre...et bien entendu, tout va pour me mieux, ce sont les habitants qui délirent.
Signaler RépondreSi on écoute Collomb, c'est grâce à lui que la Duchère est dans cet état!
Signaler RépondreIl veut ça pour la France?
Dans le quartier de la Duchère, c'est tous les jours, toutes les nuits, que les habitants subissent le tapage.
Signaler RépondreLes motos, les hurlements, les voitures folles, les barbecues sauvages, les squattes dans les immeubles, etc...
C'est de pire en pire.
Certains "nouveaux" propriétaires parlent déjà de "repartir".
Le plus risible, c'est que nous voyons plus aucun élu se balader dans le quartier !!!