Michel Mercier est officiellement en route pour le Conseil constitutionnel. L’actuel sénateur UDI du Rhône, ancien Garde des Sceaux et président du Conseil Général a été choisi par Gérard Larcher, président du Sénat, pour remplacer Nicole Belloubet.
Sa nomination est proposée depuis ce mardi, elle doit désormais être validée par la commission des Lois du Sénat. Mais on imagine mal cette dernière s’opposer à l’avis de Gérard Larcher.
S’il devenait membre du Conseil constitutionnel, Michel Mercier siègerait jusqu’en 2022. Il devrait également céder son siège de sénateur à la 2e de la liste UDI, Michèle Vullien, maire de Dardilly.
Michel Mercier récolte les lauriers de sa fidélité à François Bayrou. Sa nomination est clairement le fruit de l'alliance entre le président du MoDem et Emmanuel Macron. Après avoir connu deux ministères, l'Assemblée nationale, le Sénat, c'est une nouvelle institution qui s'ouvre au père du musée des Confluences.
Le renouvellement à la Macron a vraiment de la gueule ! La France est sauvée.
Signaler RépondreC'est bien notre vieux couple Lyonnais Mrs COLLOMB/MERCIER qui a bien combiné avec l'argent du contribuable Lyonnais.
Signaler RépondreTous 2 nous laissant leurs ardoises sont entrés dans les chateaux Parisiens.
ça promet pour la France à moins qu'ils ne se disputent en SEINE, à Lyon ils pouvaient enjamber le RHÖNE et la SAÖNE puis se retrouver à la CONFLUENCE.
Vous avez raison, et il a fait pire encore....
Signaler Répondrehttps://www.lyoncapitale.fr/Journal/Lyon/Politique/Politique/M.-Mercier-au-Conseil-constitutionnel-ses-casseroles-dans-le-Rhone
Je vais le rajouter dans ma liste des élus dévoués à l'argent plus qu'à leurs fonctions !!
BEURK!!!!!
Signaler Répondrec'est la loi de PETER
Signaler Répondrehttps://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_de_Peter
Malheureusement à la charge permanente de ses concitoyens
Pour mémoire : Le musée de la Confluence (projet initié pendant qu'il était candidat à la maire, et qu'il a persisté à vouloir pour la gloire quand il est devenu Président du Département :
- montant initial : 68 millions
- prix payé par les contribuables pour le même projet : 360 millions d'euros
et le tout payé par des emprunts (négociés en amateur face à des banquiers suisses) dont les effets toxiques plombent chaque année le budget des lyonnais métropolitains de 100 euros par personne (y compris femmes et enfants)
Hormis les soupçons portés par un citoyen devant le Procureur et qui se sont étouffés la veille de sa prise de fonction au ministère de la justice .....
c'est cela le renouveau du mac à ronds ?
C"est lui qui a accordé une caution de 40000 euros pour le Stade Aulas. Il n'est pas crédible pour juger les affaires de constitutionnalité.
Signaler RépondreHabile le clin d’œil au Musée des Confluences
Signaler RépondreLe Prince des faux q , c'est lui !!
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