Il faut dire que Vortex a un historique important de casseroles, entre le constat de fraude, les infractions relevées et les élèves emmenés dans la mauvaise école.
"Deux ans et demi après sa création, la Métropole ne s'est pas donné les moyens d'une nouvelle politique sociale. La nécessité de passer une nouvelle délégation de service public sur certains lots aurait pu permettre de tester un nouvel opérateur de transport d'élèves porteurs de handicap. Prise de court, elle s'est tournée vers l'entreprise Vortex dont on connaît les graves manquements", se désole la maire GRAM du 1er arrondissement, élue métropolitaine.
"La décision de contractualiser un an de plus avec Vortex a été prise en commission permanente, c'est à dire à huis-clos, sans la presse et l'ensemble des groupes politiques du conseil de la Métropole. Pratique... Mais très contestable d'un point de vue démocratique", poursuit Nathalie Perrin-Gilbert.
Bravo Madame , votre lucidité vous honore , votre courage devant le système Collomb aussi .
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