Tout a commencé dans la soirée de ce jeudi. Alors qu’il est sorti il y a quelques jours du centre hospitalier Saint-Jean-de-Dieu, un Vénissian de 51 ans souffrant de troubles psychologiques a agressé trois personnes en moins de 24 heures.
Ce jeudi, il a tenté d’étrangler son voisin au domicile de ce dernier, rue Léo-Lagrange, à Vénissieux. Le lendemain, l’homme, toxicomane, s’est jeté sur un passant rue Georges-Lyvet et a essayé de le frapper à coups de petite cuillère, raconte Le Progrès. En fin de matinée, c’est un homme dans une boutique Orange, dans un centre commercial Carrefour, qui a fait les frais de cet accès de violence. Le déséquilibré a sorti une arme de poing dans l’échoppe, face à cet homme qui a refusé de lui donner une cigarette.
Interpellé, l'individu a été placé en garde à vue. Particulièrement agité, il aurait même cassé une caméra de vidéosurveillance dans les locaux de la police.
Aucun hôpital n’a accepté de le prendre en charge, malgré son état inquiétant.
Nous n'avions jamais vu autant de déséquilibrés passer aux actions violentes sur la voie publique.
Signaler RépondreLa faute aux budgets en baisse, à l'islamisation, à la désintruction, ... Faites votre choix !
Ça c'est de la réflexion d'un haut niveau ! Bravo !!!
Signaler RépondreEntièrement de votre avis. Voici un résultat concret de cette "vision" à très court terme de nos chers décideurs ... Quel citoyen ne s'est pas encore rendu compte des difficultés et de la situation particulièrement difficile des "soignants" à l'hôpital public ?
Signaler RépondreL'état baisse les budgets a St Jean de Dieu et ils ferment des services .C'est pareil à Vinatier.Donc les fous sont relâchés dehors.
Signaler Répondreles déséquilibrés ont moins d'argent et vivent dans les quartiers pauvres. Je suis surpris que tu n'arrives pas a comprendre cela.
Signaler RépondreC'est normal dans une société où les responsables politiques bénéficient de la protection personnalisée de la police.
Signaler RépondreTant qu'ils auront des policiers dédiés a leur sécurité ils ne se sentiront pas concernés par l'insécurité générale et rien ne changera.
Il faut apprendre a utiliser les majuscules au bon endroit.
Signaler RépondreAvec les suppressions de places et de poste a l'hôpital et donc en psy il ne faut pas s'étonner qu'il n'y ai pas assez de place... Les gens fréquentants ces établissements sont remis en liberté régulièrement pour laisser de la place à un autre... les protocoles de soins ne sont pas à la hauteur au grand désarroi des équipes médicales... Tout le monde voit le pb mais pas le gouvernement qui supprime encore et encore des postes
Signaler RépondreEn république bananière,Il ne faut plus COMPTER que sur soi-même . Il faut se faire justice et ne plus COMPTER sur l'état QUI a faillit a sa mission .
Signaler RépondreEn dehors du fait que cet histoire est bien triste , pourquoi employé le mot marathon ? Une discipline sportive noble , n'a rien à voir avec ce déferlement de violence .
Signaler RépondreQue faut il attendre pour que chacun prenne ses responsabilités, un drame?
Signaler RépondreQui s inquiète des victimes?
On n est même plus en sécurité chez soi.
"Aucun hôpital n'a accepté de le prendre en charge " ?? C normal ca ? Donc on ne le met pas en prison, ni dans un hôpital psy ou autre. On le laisse dehors.... pour qu'il recommence. dans quelle société vivons-nous ??
Signaler RépondreSe sera de pire en pires. ET c'est normal ,nous sommes de plus en plus nombreux dans les villes ,ou l'urbanisme explose. Serrés,comme des sardines dans des quartiers ou ,on parques les pauvres ,comme disent les riches. C'est sur ,que quand on est riches ,vu LE prix du m2 dans les quartiers hors de prix résidenciel . Là qualités de vie est différente et l'ambiance bon enfants.
Signaler RépondreIl est curieux de constater autant de "troubles psychologiques" dans les banlieues très cosmopolites.
Signaler RépondreNe nous prendrait on pas pour des gogos ?