De quoi booster l'attractivité de la capitale des Gaules selon le maire de l'époque, Gérard Collomb.
Mais la mairie a subitement décidé de faire machine arrière. Pourtant, la mesure permettait de récupérer 9000 euros par an pour la location d'un seul berceau.
Mais le Progrès révèle que seulement six berceaux avaient été loués l'an dernier par des salariés, et que 2017-2018 partait sur les mêmes bases. Soit un four total par rapport aux 190 berceaux mis à disposition initialement.
Mais surtout, la Ville avait fait face à une levée de boucliers de l'opposition. Et du préfet du Rhône qui avait assigné la mairie de Lyon devant le tribunal administratif. Le représentant de l'Etat contestait la légalité de l'acte et réclamait l'annulation de la délibération. Le maire Georges Képénékian a finalement fait économiser du temps et de l'argent à la justice administrative.
Pour les enfants des salariés inscrits via l'ex-partenariat public-privé, ils garderont leur place en crèche mais leurs parents devront payer le même tarif que les autres.
Tout le monde dit que garder des enfants est un vrai boulot. Sauf que prenez le tarif horaire des nourrices,. Si les employeurs proposaient a ces parents d être payé au tarifs horaire de ces nourrices, ils. seraient contre.
Signaler Répondre