Le spécialiste lyonnais du "doggy bag" n'aura pas su sortir la tête de l'eau. Trois mois après son placement en redressement judiciaire, le 1er juin, la société a annoncé via un communiqué qu'elle était désormais en liquidation judiciaire.
Le couperet est donc tombé pour la start-up lyonnaise, fondée il y a un peu plus de trois ans. Takeaway proposait aux restaurateurs des emballages écolos afin qu'ils puissent offrir à leurs clients la possibilité d'emporter leurs restes non-consommés et ainsi éviter le gaspillage.
Malgré plusieurs rencontres avec d'éventuels repreneurs, aucun industriel ne s'est positionné pour une reprise.
Tous au chomdus. C'est bien fait ,nous on bosses pour Rien ......
Signaler RépondreVous demontez une idee sans gratter....
Signaler RépondreL idee de penaliser le gaspillage etait evoquée sous hollande.... Une sorte de taxe
D ou l idee de se mettre sur ce crenaux
Vous ne connaissez pas non plus cette entreprise qui avait des clients etrangers, pour des marchés etrangers... Notamment au Bresil
Vraiment tres instructif de voir que les breves de comptoirs aboutissent a des flops intellectuels! L ignorance et le jugement attif sont des dangers
Pour vendre un produit, il faut que celui qui l'achète ait "un bénéfice".
Signaler RépondreLà, si l'acheteur est le restaurateur, que cela lui fait un coût supplémentaire (achat de l'emballage), et que son seul "bénéfice", ce sont les clients qui peuvent emporter ce qu'ils ont laissé dans l'assiette (l'idée du "plus produit")...
c'est problématique.
1 - parce que normalement, dans la "culture française", on ne laisse rien dans l'assiette si c'est bon. Donc, laisser dans son assiette, c'est soit parce que ce n'est pas bon, soit parce qu'il y a trop et donc le restaurateur passe pour un mauvais gestionnaire (ne sais pas calculer les justes portions).
2 - du côté du client, (et toujours dans la culture française, car ailleurs chez les anglo-saxons c'est différent), repartir avec ses "restes", ça fait radin.
Voilà.
Est-ce que cette société a oublié ces paramètres ?
Après tout, le commerce est une "aventure" donc, ils ont essayé... personne ne peut leur "reprocher".
Ce qui est embêtant, c'est qu'en étant en redressement judiciaire, cela veut probablement dire que des gens vont être dans la merde...
Mais ça, c'est le principe d'un monde monétaire !
:o)
Note : je crois beaucoup plus à l'entreprise qui met en relation les clients et les restaurateurs qui ont des restes : le client paye moins cher (bénéfice immédiat), et le restaurateur monétise des aliments qu'il allait jeter (s'il respecte l'hygiène et la notion "d'aliments frais").
La survie des deux acteurs est alors bien mieux "assurée".
N'y voyez pas là une leçon, ce n'est que mon point de vue ;)
Lancement d'une levée de fonds de 2,5 millions d'euros en mars qui faisait suite à celle de 500.000 euros bouclée en 2016.
Signaler RépondreToutes ces startups bidons qui arrivent a trouver des millions alors que le pays est censé etre ruiné.
Pendant ce temps les entreprises qui ne sont pas "cool" n'arrivent pas à financer leurs projets alors que ce sont bien souvent des projets utiles à la société et producteurs de VERITABLE "richesse", pour reprendre ce terme si cher au capitalistes.
La faute aux ultra riches qui ont trop d'argent à ne plus savoir qu'en faire et qui pour s'amuser financent les projets qui les amusent au détriment de ceux qui sont utiles à la société.
Pendant ce temps le nombre d'agriculteurs continue de baisser et la France n'est plus autosuffisante en nourriture !
Vous etes de loin le plus experimenté et competant de nous tous
Signaler Répondre... Une petite lecon d eco et de gestion?... S il vous plait!!
Aïe...
Signaler RépondreIls n'ont pas assez pris de cours chez les "économistes officiels" de LyonMag ?
Sûr que "vendre une charge supplémentaire" aux entreprises, ce n'est pas évident...
Le "plus produit" a été un "moins produit".