D’emblée, Jean-Paul Bret a précisé que tout avait été dit sur sa maladie, et que les journalistes présents devront simplement "devoir s’habituer à son nouveau look pour quelques mois". L’élu, qui confie tout de même que son « traitement est rude, particulièrement la nuit", assure qu'"on vit, on travaille, et on guérit du cancer".
Le maire PS de Villeurbanne, qui est au milieu de son troisième mandat, souhaite réaliser le bilan de son mi-mandat pour "montrer où nous en sommes même si aujourd'hui, la société fait que des informations chassent rapidement celles de la veille". Ainsi, des réunions publiques "intitulées "Discutons-en" réparties géographiquement dans la ville" seront organisées avec les Villeurbannais "avec des formules de 10 à 15 personnes par table". Puis, dans un second temps, des réunions intitulées "Rassemblons nos idées" seront organisées au premier semestre 2018 "pour apporter des réponses et mettre en perspective les actions de la municipalité".
Ce mardi matin, Jean-Paul Bret est également revenu sur "des moments urbains rudes aux alentours du 14 juillet". Une "mauvaise tradition" qui a poussé le maire à écrire à Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur "pour voir comment, en amont de cette période, nous pouvions envisager et anticiper ces agissements". Concernant le sujet de la sécurité, Jean-Paul Bret s’est également félicité du retour de la police de proximité annoncé par le gouvernement. Même si, "les choses n'ont pas encore été précisées sur les modalités".
Des choses non précisées, c’est par contre ce qui énerve le maire de Villeurbanne. La suppression des emplois aidés, est selon lui une des "décisions verticales prise sans conservation". Selon les chiffres de la municipalité, sur 27 contrats aidés à l’hôtel de Ville, deux sont déjà partis. Conséquence selon Jean-Paul Bret d’"une politique gribouille avec une grande brutalité des décisions et une méconnaissance des sujets". Enfin, l’annonce de la baisse de 5 euros des APL déplaît également à Jean-Paul Bret qui juge "l’espèce d'appel un peu pitoyable" formulé dans un second temps par le gouvernement pour que les propriétaires baissent le prix des loyers de 5 euros eux aussi.
Jean-Paul Bret donne rendez-vous à la presse dès ce jeudi, pour la présentation d'un "testing inédit sur les discriminations au crédit bancaire", réalisé par la municipalité.
Courage et bonne guérison monsieur le maire.
Signaler Répondrece samedi il y a eu un rodéo au rond poids des buers à 2 heures de l'après midi.
Signaler RépondreIl n'y a plus de limite, la population est en danger jour et nuit.
On attend les actions concretes de son copain collomb et du président pas si préessé que ça finalement.
repot forcé (on écrit Repos Forcé), justement, si vous ne connaissez pas l'homme, ne le jugez pas.
Signaler RépondreIl est maire, ce n'est pas lui qui gère personnellement tous les dossiers de la Ville. Il a des équipes pour ça, et elles travaillent très bien.
Mais je vous rejoins, le cancer ne se guérit qu'à coup de repos.
Mais ce n'est pas dans la mentalité de tout le monde de se mettre en arrêt non plus :)
Je ne connais ce monsieur mais je penses qu il mérite le repos des vacances au soleil et pas gérer une ville comme Villeurbanne trop de chose à gérer avec une maladie comme le cancer se faire soigner et se reposer est le meilleur
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