Bernard Giudicelli était jugée pour avoir dit que Gilles Moretton était "accusé de faire partie de ces joueurs qui, en 2011, ont nourri le réseau des concierges qui se procuraient des billets et les revendaient dix fois le prix". Des propos tenus lors d’une conférence de presse en mars dernier à l’encontre de l’ancien directeur du GPTL, également ancien joueur de tennis professionnel, alors que ce dernier vise la présidence de la future ligue de tennis Auvergne-Rhône-Alpes.
Le président de la FFT devra également verser au plaignant 5000 euros de dommages et intérêts et 2500 euros au titre de la participation aux frais de défense. Il a d’ores et déjà annoncé son intention de faire appel.