Le préfet de région est notamment revenu sur le mouvement contre la loi travail du mardi 12 septembre. "Je n'ai pas bloqué la manifestation. Le droit de manifester est essentiel dans ce pays et je suis sourcilleux quant à son respect. Mais il s'accompagne nécessairement du respect des biens et des personnes", a-t-il expliqué. Avant de justifier le retard pris par la manifestation par la présence de potentiels fauteurs de troubles dans le cortège, lesquels ont dû en être exclu.
À un peu plus de deux mois de la Fête des Lumières, Henri-Michel Comet a par ailleurs assuré que des mesures de sécurité spécifiques seront prises. "Je suis d'une vigilance permanente, extrême. (…) Depuis déjà plusieurs semaines, nous travaillons avec la Mairie pour prendre un certain nombre de dispositifs de sécurité, qui s'améliorent d'année en année. (…) Ces dispositifs seront fixés quelques jours avant la Fête des Lumières."
Enfin, alors que la Préfecture et l'Hôtel de Région sont en conflit sur la question de la clause Molière, le préfet a tenu à rappeler que cette clause "ne rentre pas dans le cadre légal telle qu'elle est rédigée en Auvergne-Rhône-Alpes. Mais le gouvernement poursuit avec force la lutte contre le travail illégal".
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Incroyable , comme le préfet ressemble à David Bowie ;)
Signaler RépondreLa loi est écrite par les députés. Wauquiez n'avait qu'a se faire élire à l'assemblée s'il voulait changer cette règle.
Signaler RépondreAh mais non, les français ont préféré élire des députés moins à droite. Pas de chance pour lui, décidément...
Celui a pris des cours d'auvergnat va pas aimer!!! Déjà qu'il a été pris les doigts dans le pot de confiture . Heureusement il sera bientot président... de rien du tout !!! Lol
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