Au programme, freinages d’urgence et révision du code de la route pour une dizaine de conducteurs. Leur particularité : ils sont tous sourds ou malentendants. Malgré ce handicap, tous ont déjà le permis de conduire. L'objectif de ce stage est donc une mise à jour ses connaissances.
Sur place, deux traductrices étaient présentes, selon Le Progrès, afin d’apporter une traduction aux dires des formateurs.
Ces stages, gratuits, devraient se tenir une fois par année.