A la suite d’une dispute avec sa mère, un homme âgé de 24 ans souffrant de problèmes psychiatriques, était sorti pistolet à la main, rue du 11 novembre 1918. Lorsque les policiers étaient arrivés, l'individu avait braqué les forces de l'ordre dans la rue. L'un des fonctionnaires avait fait feu, blessant le jeune homme à la main.
Dans Le Progrès du jour, on apprend que l’arme tenue par l’individu menaçant était factice. Mais dans la nuit, les fonctionnaires n’avaient pas pu faire la distinction entre une véritable arme à feu et ce pistolet à billes.
Une enquête est en cours par la brigade criminelle de la Sûreté pour tenter d’éclaircir les faits. De plus, une enquête administrative a été également ouverte. C’est le cas à chaque fois qu’un policier fait usage de son arme
bravo au policier... Vous faites un métier difficile et pas de considération..
Signaler RépondreAvant de parler, le policier a peut être fait exprès de lui tirer uniquement dans la main pour pas le tuer et le désarmer uniquement. Après c'est tout à fait normal, de jour comme de nuit tu te fais braquer tu tires c'est tout. Aujourd'hui les répliques à billes sont parfois tellement bien fait que c'est impossible à distinguer un vrai d'un faux. Total soutien aux policiers !!
Signaler Répondreil vaut mieux faire le boucher que le veau... il n 'y a qu'en France où on demande des comptes aux policiers qui font usage de leurs armes... la famille va certainement deposer plainte
Signaler Répondrecomment une personne soufrant de problème psychiatrique a pu obtenir une arme meme factice?
Signaler Répondrele policier n est pas a blamer!
regardons aussi les responsabilités du coté de ses tuteurs!!!! et si il n en n a pas, cela veut dire qu il est considéré comme conscient... donc non excusable
et si il avait braqué une boulangerie? on ne sait pas, sur un coup de folie
ils devraient apprendre a mieux viser nos pandores, ça va encore faire des frais medicaux et des frais de justice tout ça
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