Jean-Michel Aulas est, selon lui, conscient de son rôle de "rempart" au sein du club et et il tient à mettre les choses au clair concernant les nombreuses critiques essuyées par l’OL et plus precisemment par l’entraineur de l’équipe, Bruno Genesio. Il a également pris le soin de rappeler que chacun a des devoirs et les joueurs n’en sont pas exemptés.
Suite au match nul face à l’Atalanta et avec seulement deux points après deux journées, Jean Michel Aulas reste tout de même optimiste. Il évoque notamment de bonnes stats " nous avons eu 21 tirs pour 7 cadrés, l’Atalanta, 5, dont 1 seul cadré ", avait-il déclaré au Progrès.
Pour lui, les chances de qualification de l’équipe sont bien réelles et il suggère que " quand un président a trente ans d’expérience, il faut lui faire confiance", selon le Progrès.
Selon lui, Bruno Génésio a les capacités et le profil pour porter le club, et jusqu’ici l’équipe ne s’est pas faite distancer.
Si le président du club défend fermement l’entraîneur lyonnais, c’est parce qu’il ne le tient pas pour le seul responsable de cette baisse de niveau "il ne faut pas que les joueurs se retranchent derrière Twitter pour penser que ce n’est pas de leur responsabilité", affirme-t-il au Progrès.
Pour lui, il n’est pas question de changer d’entraîneur et encore moins maintenant. Avec déjà 8 nouveaux joueurs, un changement d’entraîneur n’aurait fait qu’augmenter de "50% les chances d’effectuer un mauvais début de saison", confie le président au Progrès.
Pourtant, nombreux sont les supporters à réclamer, via les réseaux sociaux, la venue de l’entraîneur italien Ancelotti. Mais il en faudra plus pour faire flancher Jean Michel Aulas qui juge cette transaction "incompatible avec un club français, à l’exception du PSG", affirme-t-il au Progrès, notamment pour des raisons de statut et de rémunération.
Il ne porte donc que très peu d’intérêt aux critiques faites à l’égard de Bruno Génésio. Il invite également le plus grand nombre à "croire ce que (il) dit plutôt que ce que peut dire sur Twitter quelqu’un qu’on ne connaît pas", recommande-t-il lors d’un entretien au Progrès.
Cette petite rébellion contre l’entraîneur n’empêche pas Jean-Michel Aulas de rester positif et il compte bien aller à Angers pour gagner, et de ce fait, faire taire les mauvais jugements portés sur Bruno Génésio.
Le principal intéressé a également décidé de répondre et de se montrer ferme quant à sa motivation. Il est conscient de la pluie de critiques qui s’abat sur lui, mais ne compte pas changer de ligne de conduite. Pour lui, tout fonctionne correctement en interne, il n’a donc pas de raison de se laisser abattre et vise bien à poursuivre son travail selon ses convictions et ses idées.
Et comme le président, il est optimiste. Les résultats des derniers matchs ne seraient pas seulement le fruit de quelques erreurs, "il y a parfois des séries assez inexplicables qui font que la réussite nous fuit", affirme-t-il auprès du Progrès.
La victoire n’est pas au rendez-vous pour le moment, mais Bruno Genesio souligne cependant que son équipe ne manque pas de jeu. Il affirme également que d’autres progrès ont été faits, notamment au niveau offensif.
Les progrès vont se poursuivre et c’est avant tout par le moral que ça passe pour l’entraîneur : "On doit s’améliorer dans le mental et la concentration pendant 90-95 minutes. C’est souvent le cas avec les jeunes équipes", souligne Bruno Genesio au Progrès.
Et quand il s’explique sur ses effectifs, l’entraîneur évoque "la concurrence". Selon lui, il est important de voir d’autres joueurs sur le terrain et "ça fait avancer les titulaires", confie-t-il au Progrès. Pour le cas de Memphis, Bruno Genesio dit s’être entretenu avec le joueur, qu’il apprécie et dont il est content, notamment grâce à "son entrée contre Bergame, je l’ai trouvé dynamique, il a prouvé qu’il était capable de réagir" , avait-il déclaré au Progrès.
C’est donc une équipe, entraîneur et président incompris, re booster et positive qui s’apprête à affronter Angers ce dimanche à 17 heures.
parole de "grand" de ce monde ? (rires)
Signaler RépondreQui courent avec le ballon sur le terrain, les joueurs ou l'entraineur ?
Signaler RépondreAh oui, à l'OL, les joueurs ne courent pas, ils sautent, des chèvres !!
Facile de s'en prendre aux autres.
Aulas est un petit.Il n'a pas assez d'argent pour se payer quelqu'un d'autre que Genesio !!!
Signaler RépondreIl a viré Fournier pour moins que ca
Signaler Répondrele problème de ce club c’est AULAS faut vendre vite ce gourou va tuer ce club
Signaler RépondreJe n'ai rien à dire sur Bruno Genésio, excellent joueur, mais j'ai toujours été étonné de voir JM Aulas capable de lâcher des millions pour acheter et pour rémunérer des joueurs "moyens" voir "très moyens" mais incapable prendre un grand entraineur.
Signaler RépondreAncelotti couterait vraiment plus cher qu'un Elber par exemple ? Ou que Valbuena ?
Pourtant sans grand entraineur impossible de franchir un pallier. LE pallier qui cantonne l'OL à son niveau depuis.... depuis qu'il nous avait promis un grand entraineur (Luxemburgo, Lippi, etc) et nous avait ramené Puel !
Ou sont passés Mrs Lacombe et Houiller ? Les recrues qui sont arrivées ont été suivies par Florian Maurice et ce sont tous de jeunes joueurs, a part Marcello.L'expérience avec des joueurs ayant du vécu manque à cette équipe, cela saute aux yeus surtout en milieu de terrain. Cette équipe avec 2 matches par semaine va encore finir en dehors du podium en fin de saison.
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