Une plainte avait été déposée et à l'époque, les faits auraient été partiellement reconnus par les intéressés lors de leur garde à vue.
Ces opposants au projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes étaient jugés ce lundi au tribunal correctionnel de Lyon. Mais retournement de situation, ils ont tous été relaxés. Selon le Progrès, la justice a indiqué qu'ils étaient bien présents sur les lieux au moment des faits. Mais qu'aucune preuve ne permettait d'établir leur implication dans l'opération coup-de-poing.
En février dernier, deux jeunes hommes proches de la mouvance identitaire avaient lancé des pavés dans la vitrine de cette même permanence PS. Eux-aussi avaient reconnu avoir été sur place mais clamaient leur innocence. Ils avaient écopé de 35 heures de travaux d'intérêt général.