Ils sont accusés de violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner. En première instance, Cécile Bourgeon et Berkane Makhlouf avaient respectivement écopé de 5 et 20 ans de prison.
La mère de Fiona avait été acquittée des faits criminels et condamnée pour des délits, notamment non-assistance à personne en danger et modification d’une scène de crime. La décision avait provoqué la colère des personnes présentes sur place à Riom au moment du premier procès.
Il s’agira une nouvelle fois de connaître la vérité sur cette affaire remontant à mai 2013. Cécile Bourgeon avait signalé à la police la disparition de Fiona, sa fille de 5 ans, dans un parc de Clermont-Ferrand. En septembre, le couple avait finalement avoué avoir accidentellement tué la fillette.
Incarcérée à la maison d’arrêt de Lyon-Corbas, Cécile Bourgeon a été jugée en état de comparaître par une expertise médicale suite à sa tentative de suicide cet été.
Le procès doit durer quinze jours ; le verdict est attendu le vendredi 20 octobre. Le couple risque jusqu’à 30 ans d’emprisonnement.
Remarque comme tu utilises le conditionnel pour dire que telle méthode ne servirait à rien.
Signaler RépondreLe fait est que son incarcération actuelle ne la fait pas parler. C'est ça qui ne marche pas.
Quant au club med, c'est juste toi qui en parle, avec beaucoup de mauvaise foi.
Ah les légendes urbaines qui croient que la prison c'est le club meb.
Signaler RépondreQuand à priver les détenus de tout si cela permettait de les faire avouer et mieux de les remettre dans le droit chemin ça se saurait depuis longtemps.
Conditions d'incarcération trop bonnes, trop de confort.
Signaler RépondreDonnez lui des épinards matin midi et soir, murez sa fenêtre, pas de télé, pas de téléphone, pas de magazine, pas de contact avec ses voisines, extinction des lumieres a 20h. Elle finira par parler.
Quand le Qi de poule de la mère rejoint la cruauté du père...
Signaler RépondreQuand je lis ce type d'article, je deviens pro peine de mort...
Signaler RépondreC'est peut-être bien la seule solution.
Notre justice est trop laxiste.
La laisser en prison et lui ligaturer les trompes pour être sur qu elle ne fasse plus de mal à un enfant !
Signaler RépondrePour ma part sa libération ne devrait être effective que si elle dit ou le corps de sa fille, afin que cette petite puce est une sépulture digne et que sa famille puisse en faire le deuil si tant est qu on puisse le faire.
Signaler RépondreEnsuite, si elle décidait de faire un autre enfant, il faudra le lui retirer de suite.