Parmi eux, le cofondateur de l’association de défense des animaux, le lyonnais Sébastien Arsac.
Les deux militants étaient jugés pour violation du domicile d’autrui et tentative d’atteinte à la vie privée par fixation, enregistrement ou transmission de l’image.
En décembre 2016, Sébastien Arsac et un complice s’était introduit dans un abattoir de Houdan où ils avaient caché des caméras. L214 avait ensuite publié une vidéo dans laquelle on voit des cochons être étourdis au CO2 avant d’être saignés. Depuis, une enquête pour maltraitance a été ouverte contre cet abattoir.
Pour rappel, le parquet de Versailles avait requis une amende de 15 000 euros, dont 10 000 avec sursis.
Et pourquoi ils ne le font pas ?
Signaler Répondre- parce que les contrôles coûtent trop cher en personnel ?
- parce que si l'Etat fait "trop chier", ils délocalisent ?
- parce que "la boucherie" est inévitable ?
Si les élus et les ministères faisaient leur travail, L214 n'aurait pas à recourir à ces procédés.
Signaler RépondreSi l'enquête pour maltraitance éventuelle de cet abattoir abouti en justice, ils risquent combien eux ?
Signaler Répondre:o)