La Green Team devait réagir après son premier revers de la saison à Monaco. C’est chose faire avec la prestation aboutie des hommes de JD Jackson, à l’Astroballe ce samedi, face à Le Portel. Le match commence tambour battant pour les lyonnais avec un écart de 8 points fait dès les premières minutes (10-2, 3’). Mais Le Portel reviendra plusieurs fois à la marque, sans parvenir à prendre les devants. Le score à la mi-temps est de 45 à 40 en faveur de l’ASVEL.
De retour sur le parquet, Amine Noua et Charles Kahudi inscrivent en l’espace d’une minute deux paniers à trois points, et l’écart se creuse au cours du troisième quart-temps (62-53, 30’). Le Portel revient à six points à quatre minutes du terme de la partie, mais l’ASVEL reprend le large en fin de rencontre pour s’imposer 83 à 69.
L’ASVEL est troisième au classement de la saison régulière, en attendant les autres matchs du week-end. L’équipe présidée par Tony Parker peut désormais préparer son deuxième match d’Eurocup qui se déroulera mardi, à domicile, contre l’équipe allemande Ratiopharm Ulm. Pour la prochaine journée de Pro A, l’ASVEL se déplacera à Pau.
La guerre par la confusion...
Signaler Répondrec'est vrai que c'est votre seule façon de contrer le point de vue post-monétaire,
puisque vous n'avez aucun contre argument qui tient la route.
D'où votre peur également de la démocratie réelle ! :D
Bien vu !
Signaler RépondreNon, là ça se voit ! c'est trop gros : c'est le faux PM !
Signaler Répondreoui mais faut pas leur faire oublier le livre de philo et de psycho qui ne servira pas finalement puisqu'il n'y aura plus de compétition et de mérites à obtenir avec!!
Signaler Répondrel'éden paradisiaque sans monnaie
Cher Post monétaire,
Signaler RépondreEt si finalement vous alliez vivre sur une île déserte avec vos amis.
Imaginez, vous vivriez d'amour et d'eau fraîche, troqueriez qq bananes contre un peu de tendresse avec les singes, disserteriez des heures sur le sexe des anges, fabriqueriez votre propre herbe qui fait voire la vie en rose,... le tout sans contrainte ni règle, ni police, ni banquier, ni, ni.... cette société que vous n'arrivez pas à éclairer malgré votre investissement.
Alors évidemment, ce serait le rêve absolue, comme l'imaginait le Ché. Seul bémol, cela en serait également fini de vos éternelles provocations qui sont votre moteur.
Et du coup, votre utopie deviendrai votre prison, comme le Ché qui portait une Rolex lui donnant l'heure de Moscou en permanence (bon Castro, lui, en portait 2 Rolex en même temps...)...
Le rêve quoi, mais cette fois pour nous
Bravo à Tony !
Signaler Répondre