C'est pour un jet de cocktail Molotov sans victime qu'il était jugé mardi à Lyon. Le 29 octobre 2016, il avait visé un véhicule de police garé devant le commissariat oullinois situé rue Diderot. Pour "voir ce que cela faisait", a indiqué aux juges celui dont l'ADN a été retrouvé sur la mèche du cocktail artisanal. Ce dernier n'avait heureusement pas explosé.
Quelques jours auparavant, les policiers avaient mené une opération dans le quartier de la Saulaie, procédant à plusieurs interpellations. L'ambiance était donc aux représailles contre les forces de l'ordre.
La promesse d'une audience au tribunal et d'une probable condamnation n'avait toutefois pas refroidie le jeune Oullinois puisqu'il avait été interpellé à deux reprises cet été, à quelques jours d'intervalle. Participant à des cambriolages à Sainte-Foy-lès-Lyon, il avait été retrouvé, à chaque fois, en possession du butin.
Selon le Progrès, le pied nickelé a écopé de 10 mois de prison, dont la moitié avec sursis.
Tout est dit...!
Signaler RépondreIls s’en tapent des peines de prison, ce ne sont que des mots, elles ne sont jamais effectuées à moins de « deux ans ferme » !
Signaler RépondreCe qui revient à considérer qu’aucun délit, aucune racaille ne reçoit de sanction. D’où leur augmentation exponentielle !
il voulait savoir ce que cela faisait...
Signaler Répondrebelle ligne de défense!
multirecidiviste, il prend les policiers et les juges pour des imbéciles, et est accessoirement un nuisible pour la société
5 mois ferme, sans mandat de dépôt, autant dire qu il n a pas été sanctionné!
belle marque de respect pour les policiers visés et les victimes de cambriolage
une honte!