Mais cette situation n'était pas tolérable pour la Ville de Lyon qui a ordonné l'expulsion des manifestants. "Nous nous faisons un devoir de les scolariser dans nos écoles. Nous leur apportons un soutien au quotidien grâce au service médico-social présent dans toutes les écoles. Nous sommes ouverts au dialogue avec ceux qui se mobilisent à leurs côtés. Et nous entretenons un lien étroit avec la Préfecture et la Métropole de Lyon pour gérer ces situations délicates, évoque Georges Képénékian, maire de Lyon dans un communiqué. Mais l’école est, et doit rester, un sanctuaire, un lieu consacré à l’éducation. C’est pour cela que nous ne pouvons accepter cette occupation, ni aucune autre".
Du côté du collectif "Pas d'enfants sans toit", l'évacuation est honteuse : "La réponse aux parents qui se mobilisent pour que les 130 enfants de la métropole de Lyon ne dorment plus dans la rue est de mettre les parents...à la rue ! A la place, un vigile privé a été mis en place (il ne mourra pas de faim, un repas solidaire était partagé par les parents présents !). Plus tôt, le collectif avait communiqué sa volonté de maintenir son occupation jusqu'à mardi, date à laquelle se tiendra à la Maison de la Veille Sociale une commission statuant sur les hébergements d'urgence. Nous redisons notre volonté de voir aboutir notre démarche pour que les enfants sans toit de la Métropole ne restent pas à la rue".
Au total, 29 enfants lyonnais retrouvent la rue après l'école, où ils y passent la nuit. Et sur ces 29, 12 sont scolarisés à l'école Lucie-Aubrac. Les parents d'élèves évacués dans le calme dimanche soir devraient à nouveau donner de la voix ce lundi à l'occasion du conseil municipal.
L'opposition et notamment de gauche ne manquera pas de critiquer la décision de Georges Képénékian. A l'instar de Nathalie Perrin-Gilbert, maire du 1er arrondissement, qui fustige le fait qu'aucune solution n'ait encore été proposée aux familles en détresse.
Les clandestins ne sont pour rien dans la baisse de notre niveau de vie. La plus value due à notre travail est engloutie par d'autres qui ponctionnent notre pouvoir d'achat. Il nous reste à peine de quoi vivre, pendant que certains se pavanent...
Signaler RépondreIl vaut mieux être clandestins en France que d’avoir des papiers. Une fois tous payés il te reste rien alors’ que eux ne payent rien on des aides financières,sociales et médicales. C’est nous qui sommes vraiment cons d’accepTer ce système de merde.
Signaler RépondreOui, mais les clandestins ne sont pas sans droits. Relisez les conventions de l'ONU. En attendant de leur trouver une solution juridique, ils ont le droit d'être soignés, de manger, que leurs enfants aillent à l'école, l'accès au logement doit être facilité. D'autre part, devant l'ampleur du mouvement de migration, les bonnes vieilles recettes ne suffisent plus, ça va durer et il va falloir s'y habituer. Mieux vaut être pragmatique que de nier la réalité.
Signaler RépondreCombien de clandestins dans ces bidon-villes? Combien de personnes sont presentes illegalement sur le territoire?
Signaler RépondreSi la politique mogratoire etait reellement appliquee, ce probleme n existerait pas! Le droit du sol devient un danger qui incite les illegaux a faire des enfants sur notre territoire non pas par amour, mais par opportunite!!!!
Cette pratique let la vie des enfants en danger en faisant d eux des outils pour rester en France
C est monstrueux!
Si un tel problème est devenu récurrent, et que la France compte aujourd'hui officiellement 570 bidonvilles, il est temps que ceux qui sont en charge s'en occupent. L'Abbé Pierre est mort, ce n'est pas lui qui viendra loger ces gens. L'agglomération lyonnais a un des plus forts taux de logements vides du pays, il y a de la place, seule manque la volonté.
Signaler RépondreAu lieux de parler agissez! Prenez une famille chez vous ! Non,? C’est vrai ,c’est mieux chez le voisin ,même s’il ca l’emmerde.
Signaler RépondreAvec tous les logements vides de l'agglomération lyonnaise, et il y a encore des gens qui dorment dehors?
Signaler RépondreJ'espère que tu ne leurs pas appris à écrire à tes enfants.
Signaler Répondre"A l'instar de Nathalie Perrin-Gilbert, maire du 1er arrondissement, qui fustige le fait qu'aucune solution n'ait encore été proposée aux familles en détresse."
Signaler RépondreLa seule décision à prendre est de placer tout ce petit monde en centre de rétention avant leur expulsion!
Ainsi il n'y aura plus d'enfants SDF dans nos rues!
Il s'agit de découragé l'immigration clandestine, pas de l'encourager!
Je sais ça ne va pas plaire aux patrons... et à MELENCHON!
Bravo! Les islamogauchistes de MELENCHON du NPA et consorts ça suffit! Les enfants ne sont que des prétextes pour faire de l'agit-prop. Ces enfants devraient être expulsés avec leurs parents. Ils ne devraient pas être scolarisés dans un circuit normal mais dans des centres de rétentions... Les clandestins n'ont rien à faire en France.
Signaler Répondredans quel siècle on vit? Tous mes enfants sont partis faire leur nid en dehors de la région ils ont tous plusieurs enfants chaque couple travaliait tous les 2 ils n’y arrivent plus le chômage est passé dans leurs couples ils vivent comme je les ai éduqués on vit avec se que on a dans le porte monnaie pas de crédit on s enterré regardé un peu plus loin que le bout de son nez achats à prévoir pour la rentrée scolaire les assurances aucun est propriétaire il y avait des projets avant que chômage passé avec ma Toute petite Penssion d invalidité je vis chichement et je suis le resto du ??
Signaler RépondreSi chaque parent qui occupe l'école prend un enfant chez lui, il n'y aura plus d'enfants à la rue! Si on reloge ces adultes et ces endfants, qui va payer...? Moi j'ai des difficultés à payer mon loyer avec des enfants à charge et je n'ennuie personne, je paye et je ne ne me fais pas remarquer en implorant l'Etat providence...
Signaler RépondreHonte à Képékian ..arménien chassé de son pays .......
Signaler RépondrePourquoi occuper une ecole et pas la prefecture ou la mairie centrale?
Signaler Répondre... Le manque de courage? La peur de se faire repousser rapidement par les forces de l ordre?.... On saot tous que les ecoles (et nos enfants) sont beaucoup moins protegées que les barons de notre pays