Elle avait débuté en avril 2016, lorsqu’une officine avait alerté les autorités. Grâce à la complicité d’un médecin, de pharmacies peu regardantes et d’ordonnances volées, quatre personnes avaient monté un trafic de ce substitut de synthèse à l’héroïne.
Au total, ces individus de nationalité congolaise et angolaise ont récupéré pas moins de 4 814 boîtes de Subutex. Le produit, qui est vendu sur le marché noir, au comprimé, entre 10 et 50 euros.
Ce lundi, la justice a condamné ces personnes. Des peines de six mois à trois ans ferme ont été prononcées, en fonction des différents antécédents.
Remboursement immediat a la secu, et expultion directe
Signaler RépondreIl n'y a pas de trafics à Lyon ni dans le reste du monde.
Signaler RépondreC'est comme pour la pollution :
"il n'y a pas de pollution à Lyon", dixit le Raymond Barre des années 2000 : Gérard Collomb.
C'est la peine que je demande pour M. Ferrand.
Signaler RépondreM (ou Mme) est un magistrat ?
Signaler RépondrePrison amende et CIAO rentrez chez vous interdiction territoire à vie Pas DE pitié
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