Le ministre de l’Economie est attendu à 12h à la Bourse du Travail où il sera accueilli par Pascal Le Merrer, le directeur des Jéco, et par David Kimelfeld, le président de la Métropole de Lyon. Son intervention devrait durer une demi-heure, à l’occasion de cet événement national de référence en matière de réflexion sur les grandes questions économiques.
Bruno Le Maire doit également "échanger avec des élus et des cadres locaux de la République en Marche", précise l’agenda ministériel.
qui prend des risques ? Faut arreter avec cette idée que ces gens prennent des risques. Les militaires prennent des risques.
Signaler RépondreMais quelqu'un qui emprunte de l'argent pour exploiter les autres ne prend pas de risque.
Et oui....
Signaler RépondreEt si on reprenait un peu l'histoire, notre histoire de France......
Colbert : Pour trouver de l’argent, il arrive un moment où tripoter ne suffit plus. J’aimerais que Monsieur le surintendant m’explique comment on s’y prend pour dépenser encore quand on est déjà endetté jusqu’au cou…
Mazarin : Quand on est un simple mortel, bien sûr, et qu’on est couvert de dettes, on va en prison. Mais l’état… L’état, lui, c’est différent. On ne peut pas jeter l’état en prison. Alors, il continue, il creuse la dette ! Tous les états font ça.
Colbert : Ah oui ? Vous croyez ? Cependant, il nous faut de l’argent. Et comment en trouver quand on a déjà créé tous les impôts imaginables ?
Mazarin : On en crée d’autres.
Colbert : Nous ne pouvons pas taxer les pauvres plus qu’ils ne le sont déjà.
Mazarin : Oui, c’est impossible.
Colbert : Alors, les riches ?
Mazarin : Les riches non plus. Ils ne dépenseraient plus. Un riche qui dépense fait vivre des centaines de pauvres.
Colbert : Alors, comment fait-on ?
Mazarin : Colbert, tu raisonnes comme un fromage ! Il y a quantité de gens qui sont entre les deux, ni pauvres ni riches… Des Français qui travaillent, rêvant d’être riches et redoutant d’être pauvres ! C’est ceux-là que nous allons taxer, encore plus, toujours plus ! Ceux-là ! Plus tu leur prends, plus ils travaillent pour compenser… C’est un réservoir inépuisable.
On comprends que LREM n'est pas prêt à combattre la fraude fiscale des riches, avec l'augmentation de la CSG pour tout le peuple.......
Il ne va surement pas parler du "verrou de Bercy" ce ministre qui s'offusque devant les caméras de l'ampleur de l'optimisation fiscale.
Signaler RépondreQuand on pense que les député.e.s de la majorité parlementaire LaRem avaient l'opportunité de supprimer cet archaïsme français, on comprend que ces élus, les ministres et le Président sont à la solde des riches.
Bravo à ces hommes qui prennent des risques. Que cela amène des quolibets... c’est immanquable! Des jalouses, des frustrés? Yes WE can
Signaler Répondreparce que le systeme apprend aux enfants dès le plus jeune age qu'il n'existe que 2 choix :
Signaler Répondrele capitalisme
le communisme
Ce qu'il oublie de dire c'est que le communisme n'est autre qu'un capitalisme d'état.
Les 2 sont donc pareils, c'est a dire aussi autoritaires l'un que l'autre, à une différence près : le communisme s'appuie sur le spectacle concentré pour assoir son autoritarisme, le capitalisme s'appuie sur le spectacle diffus : la marchandise.
Vous savez ce qu'il vous reste a faire.
Pourquoi continuez vous à être esclave volontaire ?
Signaler RépondreTiens voilà le ministre des riches qui n'aime pas les retraités, celui qui change d'idées comme de chemises.
Signaler RépondreBelle journée de communion des économismes libéraux à la solde du grand capital.