Les blocs ont été apportés ce mardi rue de la République - LyonMag
Ainsi, des blocs de béton ont fleuri, pour stopper les courses meurtrières de véhicules lancés dans la foule.
Sauf à Lyon où il a fallu attendre cette semaine pour voir la Ville réagir enfin et tenir promesse. Des blocs de béton ont été installés rue Victor-Hugo et rue de la Ré, les deux plus importantes et emblématiques de la Presqu'île. Sur la dernière citée, la plus empruntée, plusieurs rangées de blocs ont d'ailleurs été installées pour éviter qu'un véhicule n'emprunte la rue et puisse ensuite accélérer.
L'adjoint à la Sécurité à la Ville de Lyon, Jean-Yves Sécheresse, nous avait indiqué récemment qu'une intense réflexion avait été menée sur le sujet par ses services : "Après les évènements des Ramblas à Barcelone, on s'est posé des tas de questions. Nous sortons d'une sécurisation supérieure des berges et de la Halle Tony-Garnier. Je ne travaille pas à la beauté de la ville, on va mettre des plots en béton, disposés en quinconce sur la rue Victor-Hugo et la place des Terreaux, incessamment sous peu. Mais on a un problème avec le camion grande échelle des pompiers, les quinconces sont calculés pour les laisser passer".
N’importe quoi . Les voitures sont au normes ,c’est les conducteurs qui deviennent FOU.
Signaler RépondreNotre sécurité est désormais assurée contre ces "voitures" qui deviennent "folles" et le politiquement correct est sauf !
Signaler RépondreDans 2 ans nous devrons tous porter des gilets par balle pour nous protéger contre ces armes qui deviennent également folles.
C'est très bien pour ses rues, mais les autres on s'en fou???
Signaler Répondrecela existaisdeja rue victor hugo
Signaler RépondreApprenez également à lire.
Signaler RépondreCe que vous citez n'est valable que pour la rue Victor-Hugo. Pas pour la rue de la Ré... pourtant bien plus large et beaucoup plus fréquentée.
C'est une mesure symbolique, pour répondre au buzz qu'a créé l'identitaire lyonnais Damien Rieu.
On peut le remercier d'avoir fait bouger les choses mais la ville doit aller plus loin.
Un vélo , une poussette bourrée d'explosifs aussi ... ce n'est pas rassurant y'a trop d'espace . il faut plus de bloc de béton et plutôt en zigzag .
Signaler Répondreoui c'est vrai que même en faisant un départ arreté au niveau des bornes , une camionnette de type Peugeot avec 180cv sous le capot n'arrivera pas à faire de dégats sur la rue de la république...
Signaler Répondreà consternant :
Signaler Répondreallons, allons, restons courtois.
Je ne me plains pas particulièrement, sauf à dire que le sujet est difficile et que l'on peut regretter à juste titre que les autorités ne réagissent que maintenant. L'attentat de Nice date de plus d'un an !
Je pose simplement des questions sur les mesures elles-mêmes. D'autres le font à juste titre, en tant que lecteurs et connaissant ces deux voies très fréquentées.
On aurait aimé un article plus étayé et plus critique (relire mon message, au besoin).
Je vous souhaite une très bonne journée
Apprenez à lire. Le but n'est pas d’empêcher tous les véhicules de passer mais de les empêcher de prendre de la vitesse.
Signaler RépondreC'est si compliqué à comprendre ?
Si les blocs peuvent laisser passer la grande échelle, alors nous sommes en sécurité, aucun véhicule ne pourra franchir ce barrage...
Signaler RépondreBande de charlots !
Les voitures « folles » ne courent pas encore les rues... je parlerais plutôt de conducteurs pas si déséquilibrés que les médias veulent nous faire croire, car ils sont bien conscients de leurs actes. Ils sont fous, certes, mais de l’obscurantisme religieux et obéissent à des règles moyenâgeuses, endoctrinés de leur plein gré par des hommes en robe, qui leur promettent des vierges en échange. Bonne ou mauvaise nouvelle: le stock est épuisé, en échange ils auront 72 v...es :-D
Signaler RépondreOui , mais alors si les camions pompier peuvent passer , cela veut dire que les camionettes/fourgons le peuvent aussi ??
Signaler RépondreApparemment, ces blocs sont juste posés. Un camion pourrait donc les pousser ; évidemment.
Signaler RépondreOn se moque de nous ?
Lisez...
Signaler RépondreEn attendant, tout le credit de cette affaire revient à l identitaire qui a fait une video
Signaler Répondreil a su communiquer sur un manque, ... et la mairie à installer le dispositif demandé.
Meme si dans la réalité, la mairie ne réagit pas suite a la video (et honnêtement j en doute fort), les faits sont la: les identitaires protègent la France
encore une belle maitrise de la part de la mairie
chapeau
Formidables de réactivité lorsqu'il s'agit de la sécurité des citoyens les élus lyonnais. Bravo et merci. ;-(
Signaler RépondreFaut apprendre à lire un article jusqu'au bout avant de sauter sur les commentaires pour se plaindre...
Signaler Répondre" e avec le camion grande échelle des pompiers, les quinconces sont calculés pour les laisser passer"
Entre les 2 bornes sur la photo une voiture peut passer voir une moto bourree d explosifs.
Signaler RépondreC'est peut-être vrai.
Signaler RépondreIl serait intéressant, là encore, que des journalistes nous donnent quelques explications supplémentaires.
Car on peut fort bien dire que ces blocs de béton ont été installé à cet endroit à la va-vite, sans examiner l'ensemble des mesures de sécurité à prendre..... ce que des journalistes avisés pourraient évoquer !
Des blocs en béton ,,; mais en cas d'attentat terroriste ou autre comment font les gendarmes et les pompiers pour accéder sur le lieu des faits.
Signaler RépondreVous avez oublié, "Lyonmag" de dire que plusieurs citoyens de la ville ou résidents dans cette ville avaient procédé à un "état des lieux" pour constater la dangerosité du site, sous l'aspect des attentats.
Signaler RépondreDont un qui est "identitaire".... c'est mal de ne pas le mentionner dans l'article ?
Mais il n'y a pas que lui. Et on ne peut ou ne veut pas citer ceux qui "a-politiques" avaient réclamé des mesures de protection appropriées ?
Et vous ne dites rien de ce qu'aurait dû faire la préfecture.... et le maire aussi ? car tout de même, un maire, par définition, est responsable de la tranquillité, de la salubrité et de la sécurité publique : c'est écrit "dans le code" !.
Là vous faites de la "com' " sans recul aucun de ce que fait (ou n'a pas fait) la municipalité. Ce n'est plus du journalisme, c'est de la complaisance.