Il y est convoqué une première fois le 14 novembre. Ce jour-là, il s'agit d'une audience de conciliation dans le cadre de son divorce. C'est un échec. Et à la sortie, le trentenaire décide de suivre son ex-femme jusqu'à l'arrêt de tramway situé de l'autre côté de la rue, où il la menace et lui porte un coup à la pommette, rapporte Le Progrès.
Trois jours plus tard, il est à nouveau attendu au tribunal. Cette fois-ci en correctionnel pour des violences conjugales remontant à juin. En état de récidive, il est condamné à 18 mois de prison donc 12 de sursis.
Ce mardi, c'est pour répondre des ses actes du 14 novembre qu'il était confronté aux juges. En l'absence de témoin ou d'images pouvant attester de l'agression, l'homme a nié les faits et a même tenté de se faire passer pour un mari persécuté.
Mais sa version n'a visiblement convaincu personne, puisque que cette comparution immédiate s'est soldée par une peine de six mois de prison avec mandat de dépôt.
pas de témoin, mais parole contre parole, on croit toujours la femme. C'est l'égalité de traitement devant la loi au 21eme siècle. Il n'avait qu'a pas être un homme.
Signaler Répondreoh le pauvre! En plus, il n'y avait pas de témoins, alors comment les juges ont pu le déclarer coupable lors de la comparution immédiate?!?
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