Aidés par des étudiants qui leur apportent quotidiennement de l’aide, les migrants dorment sur place en attendant une solution d’hébergement. Parmi eux se trouve notamment une famille avec deux enfants scolarisés à Lyon. Avant leur arrivée à l’université, ils se trouvaient dans un camp du quartier de la Part-Dieu, évacués la semaine dernière par les forces de l’ordre.
La présidente de Lyon 2, Nathalie Dompnier, a d’ailleurs tenu ce mardi une conférence de presse sur le sujet. "L'occupation se fait dans le respect des personnes et des locaux, ça se passe aussi bien que ça peut se passer. Mais ce ne sont pas des conditions dignes pour accueillir des personnes", a-t-elle notamment déclaré ajoutant que les migrants étaient "livrés à eux-mêmes".
"L’Université devrait choisir entre mettre à la rue ces personnes et assurer ses missions d’enseignement. Nous ne voulons pas choisir. (…) Mais l’université n’est pas un lieu pour les accueillir. Cette situation n’est pas satisfaisante car l’université est en dehors de ses missions. Nous ne pouvons pas, nous ne savons pas loger des femmes et des hommes dignement", a également assuré Nathalie Dompnier appelant les pouvoirs publics à réagir face à cette situation.
Vu l'état du campus de Bron, on peut les pardonner, ils ont probablement cru qu'il s'agissait d'une ruine qu'ils pouvaient squatter sans gêner personne.
Signaler RépondreD'accord Ils sontl livres à eux mêmes j'aime bien cette phrase ils pourraient jouer aux cartes etc surtout n'en disons pas plus c'est une vraie richesse et bien sûr une chance pour la France
Signaler RépondreQuand ,enfin ,nos hommes politiques seront ils des hommes en faisant respecter NOS lois . La France est en crise ,de travail, de logement ,d’identités,ect.... ARRÊTEZ,avec l’immigration que les mafias nous envoient. Il faut avant tout s’occuper de nos pauvres ,des demandeurs d’emplois ,des précaires ect.... sinon ,la société vas exploser de l’intérieur et il est déjà trop tard.
Signaler RépondreLa premiere reaction de l etat devrait etre de reconduire a la frontiere ceux qui ont deja ete debouté du droit d asile!
Signaler RépondreNotre liberte est aussi de decider qui peut rester ou pas, et de daire executer les decisions d eloignement du territoire!
Les associations qui maintiennent les clandestins sur notre territoire en toute inegalité devraient elles aussi prendre leur part de responsabilité quand au non respect de la loi!
Ca suffit!