Lors d’un contrôle, il s’est avéré qu’ils avaient embauché illégalement plusieurs vendangeurs. Selon Le Progrès, trois des prévenus ont affirmé avoir eu du mal à gérer les déclarations des salariés sur internet.
Ce mardi, les prévenus ont été condamnés à des peines allant de 2 à 3 mois de prison avec sursis et des amendes de 500 à 2000 euros.