Conséquence d'une plainte déposée pour détournement de bien public et visant Jean-Jacques Urvoas, soupçonné d'avoir acheté sa permanence parlementaire avec ses frais de mandat parlementaire. Et surtout d'avoir récemment tenté de vendre ou de louer ce bien estimé à plus de 210 000 euros.
France Info a donc interrogé 150 anciens députés. Et 32 ont indiqué avoir effectivement fait l'acquisition de leur permanence grâce à l'IRFM.
Dans le Rhône, deux anciens députés ont refusé de répondre aux questions de nos confrères : Pascale Crozon (PS) et Philippe Meunier (LR).
Deux autres ont indiqué ne pas avoir été propriétaires : Pierre-Alain Muet (PS) et Michel Terrot (LR).
Enfin, Georges Fenech (LR), Christophe Guilloteau (LR) et Philippe Cochet (LR) ont reconnu avoir acquis les locaux qui leur permettaient de recevoir les électeurs de leur circonscription. Mais tous ont juré avoir utilisé des fonds personnels. "Un gros apport personnel" sans utiliser l'IRFM pour l'ancien juge d'instruction, avec "un prêt à 2% de l'Assemblée nationale" pour le président du Département du Rhône et sans IRFM pour le maire de Caluire.
Madame Crozon a refusé de répondre ? C'est forcément qu'elle n'est pas concernée, n'est-ce pas...
Signaler RépondreQuant à parler de "pratiques limite", c'est cette présentation qui est osée : il s'agit bel et bien d'abus de bien public puisque le dépité s'enrichit ainsi, gardant la propriété du bien lorsqu'il n'est plus élu.
La ripoublique, encore et toujours oui !
Ont’ils Utilisés l’IRM ,pour scanner leur cerveaux de poules,la réponse est oui. Et, ce qui y ont trouvé n’ est qu’un QI de maternelle.
Signaler Répondreintéressés ? Ha ! menteurs, comme d'habitude.
Signaler RépondreSur les 14 députés du Rhône élus le 18 juin
Signaler Répondre1re circonscription : Thomas Rudigoz (LREM)
2e circonscription : Hubert Julien-Laferrière (LREM)
3e circonscription : Jean-Louis Touraine (LREM), réélu
4e circonscription : Anne Brugnera (LREM)
5e circonscription : Blandine Brocard (LREM)
6e circonscription : Bruno Bonnell (LREM)
7e circonscription : Anissa Khedher (LREM)
8e circonscription : Patrice Verchère (LR), réélu
9e circonscription : Bernard Perrut (LR), réélu
10e circonscription : Thomas Gassilloud (LREM)
11e circonscription : Jean-Luc Fugit (LREM)
12e circonscription : Cyrille Isaac-Sibille (MoDem/LREM)
13e circonscription : Danièle Cazarian (LREM)
14e circonscription : Yves Blein (LREM), réélu
seul 4 ont été réélus :
- 3e circonscription : Jean-Louis Touraine (LREM), réélu
- 8e circonscription : Patrice Verchère (LR), réélu
- 9e circonscription : Bernard Perrut (LR), réélu
-14e circonscription : Yves Blein (LREM), réélu
suffit de leur demander directement sur ce site
Intéressés surtout, on cherche des cas d études en cours de psycho
Signaler Répondreça a l'air de vous passionner cette personne, bien plus que les problèmes liés au fric !
Signaler RépondreArgl le retour de Pm.....
Signaler RépondreEt ça continue à se plaindre du fric tout en restant les défenseurs du fric !
Signaler RépondreTrès très rigolo !
Arrêtez vos propos outranciers, ces députés que vous accusez sont des vrais français (comme l'extreme droite les aime). Ils ne sont donc PAS capables de commettre des actes immoraux quel qu'il soit. Ca ne s'est JAMAIS vu.
Signaler RépondreOn sait tous que seul une partie de la population est immorale.
Ce n'est pas une "nouvelle" pratique non, et ce n'est pas "limite" mais parfaitement scandaleux : ces gens se sont enrichis avec des deniers publics, donc notre argent.
Signaler RépondreLa réponse impérative est très simple : ce sera de contraindre ces voleurs en bande organisée à rendre ces locaux à la collectivité nationale (nationalisation) qui les vendra.
Et oui, encore une pratique qui fût légale mais pas morale avec en finalité un enrichissement personnel.C'est ce qui est repproché à Jean-Jacques Urvoas ministre de la justice de François Hollande avec une plainte pour détournement de bien public.
Signaler Répondre32 députés sur 150 ont bénéficiè de cette opportunité, Certains n'ont pas daigné répondre.
Ce n'est pas pire que les langoustes de Mercier ou de l'affaire Ferrand.
Urvoas sera-il condamné, rien n'est moins sur mais cela prouve que dès qu'il est question d'argent, tout doit être reglèmenté avec prècision ce qui sera le cas pour les 5000 et quelques euros IRFM qui ne faisaient l'objet d'aucun contrôle.
Il doit y avoir d'autres parlementaires concernés.