Les faits se sont déroulés vendredi, mais "l’élève est toujours présent dans l’établissement, et autorisé par la direction à aller en cours".
Plus globalement, le personnel entend dénoncer "un climat de violences physiques, verbales et psychologiques qui l’empêche d’exercer sereinement". Il demande ainsi "la re-création d’un deuxième poste de CPE, des mesures conservatoires à l’encontre des élèves contrevenant au règlement intérieur et de poursuivre l’effort entamé d’adaptation des effectifs de classe aux conditions réelles d’enseignement".