Le collectif Amphi C solidaire demande notamment un logement décent et durable pour les personnes hébergées sur le campus de Bron. "La préfecture ne nous a proposé qu’une fausse solution : un gymnase excentré à Meyzieu (proche de l’aéroport et du centre de rétention !), pour seulement 10 jours, où nous serions fichés et expulsés", dénoncent les migrants.
Des migrants qui se présentent comme "des demandeurs d’asile, des sans-papiers qui dormaient dans un couloir extérieur proche de la gare Part-Dieu. Nous avons vu nos sœurs et frères perdre leur âme, se faire tuer. Nous avons fui la guerre, la répression, les conflits ethniques, la misère… Nous sommes des rescapés. Nous sommes venus nous réfugier dans le pays dit des droits de l’homme, un pays qui comme beaucoup d’autres a colonisé nos pays d’origine et continue encore aujourd’hui à les contrôler et à piller leurs richesses".
J'ai un hébergement temporaire: le bateau ou l'avion et un définitif: retour au pays....
Signaler RépondreEt dans le lot des gentils fous de Dieu qui viennent avec le sourire et leur eternel refrain d anciens colonisés , mais qui ne pensent qu à installer la charia ....les bobos gauchos d etudiants et leurs soutiens de profs sont complices , un point c est tout ... a moins que les facs soient déjà sous les loismoyennageuses de nos chances pour la France . Ca se saurait ........
Signaler RépondreWahh, ils écrivent vachement bien le français ces migrants.
Signaler RépondreEtudiants, pensez plutôt à votre futur, vous vous en mordrez les doigts dans 10 ans!